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TOUTES les chroniques Rock:

• Allman Brothers Band : "Fillmore East 2/70" (Grateful Dead Records, 1998)
"à prendre au passage avec le "Dick's Picks 4" du Grateful Dead puisque qu'il s'agit du show d'ouverture des Allman pour le Dead (le même soir du 13 Février 1970)…" (Lire la chronique complète)

• Banyan : "Anytime at all" (CyberOctave/Import U.S., 1999)
"Puis il mélange tout ça pour obtenir un album de rock progressif à la sauce jazz accompagné de pommes de reggae servies avec un vin mauve halluciné et son gratiné d'acide au funk gras" (Lire la chronique complète)

• The Beach Boys : "Endless harmony soundtrack" (Capitol/E.M.I., 1998)
"Bon on va faire bref. Je n'ai jamais vraiment adhéré aux Beach Boys et à leur wap wap woo woo vocaux et à leur univers surfboys de pacotille, mais là je dois bien avouer que je suis relativement bluffé" (Lire la chronique complète)

• The Big Lebowski : "Original motion picture soundtrack" (Mercury/Universal, 1998)
"Pour ceux qui n'auraient pas vu le film de Ethan et Joel Coen, " The Big Lebowski", sortez tout de suite de cette chronique et allez le louer au plus vite" (Lire la chronique complète)

• Black Crowes (the) : "By your side" (1999)
"Tout ça pour ça! C'est quand même monstrueux qu'on te rabatte les oreilles des mois durant sur un album comme ça!" (Lire la chronique complète)

• Blind Man's Sun : "Of the spheres" (2 CDs, Orchard, 1998)
"Une dose de pop, un fond rock, quelques touches jazz, un certain côté rock progressif, des instrumentaux psychés une rythmique funk à souhait, quelques accents cajuns, le tout en présence de marimbas et autres percussions des îles... Ouah, mais où vont-ils?" (Lire la chronique complète)

• Blues Traveler : "Straight on till morning" (1998)
"Enfin un album studio de Blues Traveler qui tienne debout! Et même plus : si il ne s'agit pas là d'un chef d'œuvre du tout, j'écoute cet album énormément depuis sa sortie" (Lire la chronique complète)

• Buckethead : "Monsters and robots" (Cyberoctave/Virgin, 2000)
"Je m'emporte un peu parce que je suis en train d'écouter le premier morceau de ce chef d'œuvre qu'est «Monsters and Robots». Imaginez «Jesus Built my Hot Rod» de Ministry avec Bootsy Collins à la place de Gibby! Car justement, il est bien là, le Bootsy! Ça calme, non? La mauvaise nouvelle, c'est qu'il ne joue pas trop de basse. La bonne, c'est que quand il ne joue pas, c'est Les Claypool qui s'y colle!!!" (Lire la chronique complète)

Discographie Tim buckley :
• Tim Buckley : "Tim Buckley" (1966)
"Ce gaillard de presque 20 ans mais pas encore donne un aperçu de ses compositions, celles qui ont déja fait frémir les gars des Mother of invention, ce qui n'est pas peut dire" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Goodbye and hello" (1967)
"Alors que la scène rock psyché finit par atteindre les masses, Buckley propose du psychédélisme baroque, démontant désormais des lignes de cordes sur ses méloppées cristalines" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "The Peel sessions" (1968)
"Toujours issus de la fantastique émission de John Peel, 5 morceaux composent ce maxi ô combien grandiose" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Dream letter - Live in London 1968" (1968)
"Tout l'art d'un grand chanteur est développé le long de ce concert en forme de montagnes russes, traversant les contrées acoustiques de sa guitare folk, habillant le tout de ses octaves les plus belles ou bien encore, expérimentant toutes les couleurs de sa palette psychédélique" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Blue afternoon" (1969)
"c'est un Tim Buckley au zénith de son art qui tiens l'essentiel de ce chef d'oeuvre de composition romantico dramatique" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Happy sad" (1969)
"Il n'est pas nécessaire de répéter encore une fois que les voix sont fabuleuses, angélique ou même déïques car, de toutes façons, la voix de Tim Buckley n'a jamais faillit à sa réputation et à son art" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Live at the Troubadour 1969" (1969)
"Décidemment, quelle époque fertile pour le jeune compositeur de 22 ans qui s'amuse à bouleverser l'univers impeccable de la musique folk en y ajoutant une grosse poignée d'inspiration jazz" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Starsailor" (1970)
"voilà dans la continuité des albums de l'espace, après "Stellar regions" de Coltrane ou "Space is the place" de Sun Ra, le "Starsailor" de Tim Buckley qu'on savait déjà extra-terrestre par sa voix" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Lorca" (1970)
"Sûrement l'album dans lequel l'équilibre entre musique folk composée et jazz psyché se fait le mieux" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Greetings from L.A." (1972)
"C'est un nouveau Tim qui se fait fort de devenir un ambassadeur du white rhythm'n'blues laissant de côté un moment ses guitares folks et son jazz barré pour les affres de l'électrique guitare qui prend, tout de suite, une allure plus funk" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Sefronia" (1973)
"Buckley s'enfonce dans le funk blanc avec des musiciens de L.A. qui n'y connaissent apparemment rien" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Honeyman - recorded live 1973" (1973)
"Cette session enregistrée le 27 novembre 1973 pourrait faire office de best of du meilleur de la crème de Tim Buckley en live" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Look at the fool" (1974)
"si Tim Buckley persiste dans le rhythm'n'blues avec "Look at the fool", c'est pour mieux tromper son auditeur qui s'en trouve à chaque fois surpris et donc pas ennuyé" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Morning glory" (1968, 1974)
"si on a déja le "Peel sessions" de 68, on a déja les trois-quarts de cet compilation qui n'a donc qu'un intérêt moindre si ce n'est pour cette version fabuleuse de "Dolphins" qui vaut qu'on se le procure" (Lire la chronique complète)
• Tim Buckley : "Return of the Starsailor - Previously unissued live recordings 1967-75" (1967, 1974, 1975)
"Un des derniers concerts de Tim, il mourra plus tard durant le même mois" (Lire la chronique complète)

• Calobo : "Live at the Crystal Ballroom May 29th-30th '98" (Padre Productions, 1999)
"Et bien dans ce lot de jam bands, donc, un seul nous a réellement déçu avec son cinquième album, "Live at the Crystall Ballroom", enregistré les 19 et 30 Mai 1998 dans leur fief actuel, à Portland, Oregon" (lire la chronique complète)

• Joe Cocker & the Grease Band : "On air" (1968-69)
"Non mais, il n'est pas sexy le père Cocker! vous l'avez bien regardé le petit chauve confit et contorsionniste" (Lire la chronique complète)

• David Crosby : "If I could only remember my name" (1971)
"Pourquoi parler de ce disque 27 après? Tout simplement parce que c'est une merveille, qu'il est disponible, pas cher et méconnu." (Lire la chronique complète)

• Derek Trucks Band : "Out of the madness" (1998)
"on l'a vu croiser les fers avec Bob Dylan, Joe Walsh, Stephen Stills, ou encore chez Gov't Mule. And now I'm a man! s'est-il alors écrié en fondant son propre groupe" (Lire la chronique complète)

• Disco Biscuits : «Encephalous crime» (Diamond Riggs, 1996)
"Le premier album des disco biscuits vient d'être réédité, avec en bonus un track live (22 minutes de grosse impro), mais ce n'est pas là sa qualité principale. Ce premier labum est très touffu, il correspond aux Disco Biscuits première version, et ne ressemble pas au second album dont nous vous avions déjà dit beaucoup de bien" (Lire la chronique complète)
• Disco Biscuits : "Uncivilised area" (Megaforce, 1998)
"Non, Disco Biscuits n'est pas un groupe à pattes d'eph', paillettes et semelles compensées: Disco Biscuits est un jam band qui n'a de disco que l'humour et le côté entraînant de leurs jams funk et bluegrass..." (Lire la chronique complète)

• Dr John : "Anutha zone" (1998)
"Ce serait la suite de "Gris-gris", un des tous premiers albums du Night Tripper, mais avec pleins d'invités" (Lire la chronique complète)

• Johnny Dowd : "Wrong side of Memphis" (Seven-shooter/Munich, 1999)
"Elvis is dead...ouf! Memphis, la ville du king, ressemblait plus à un burger géant aux amphètes à la fin de sa carrière... Alors, depuis, c'est devenu la capitale des country-addicts de tous poils" (Lire la chronique complète)

• Bela Fleck and the Flecktones : "Left of cool" (WEA, 1998)
"Bela Fleck et son groupe s'efforcent comme des malades de faire un mélange compliqué pour à la fin un résultat d'easy-listening virtuose, peu passionnant, mais quand même intéressant" (lire la chronique complète)

• Jerry Garcia / Howard Wales : "Side trips volume one" (1970)
"Les mauvaises langues diront que Garcia ne prenait pas de trips qu'avec le Dead (ce sont toujours ceux qui parlent le plus qui écoutent le moins)" (Lire la chronique complète)

• Gov't Mule : "Live at Roseland Ballroom" (Foundation/A&A, 1996)
"Bien dans la lignée Hendrix en trio guitare/basse/batterie, ce disque tue" (lire la chronique complète)
• Gov't Mule : "Dose" (Capricorn, 1998)
"C'est graisseux, c'est carré, c'est très américain et fait pour leur plaire à eux" (lire la chronique complète)
• Gov't Mule : "Live… with a little help from our friends" (Capricorn, 1999)
"Enregistré au Roxy, à Atlanta (Georgie) durant les show du New Year's Eve 1998, ce double CD remet les pendules à l'heure" (lire la chronique complète)

Discographie Grateful Dead Records :
• The Grateful Dead : "So many roads (1965-1995)" (Grateful Dead Records, 5 CDs box set)
"Cela faisait un bout de temps que l'on attendait pareil coffret. Et la set-list annoncée sur la Dead letter augurait des meilleurs hospices. Cinq disques pour retracer toute l'histoire du Grateful Dead était-ce suffisant? En tout cas, ce qui est proposé à l'intérieur de ce magnifique coffret tout en tissu, est on ne peut plus satisfaisant. Cela va vraiment des Warlocks à la dernière chanson chantée par Garcia en concert, la fameuse "So Many Roads". Visite guidée au sein de l'histoire du Dead." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Grateful Dead" (RCA/Grateful Dead Records, 1967)
"Premier album du Dead, il est aussi le plus rock de tous. Toutes les chansons sont des reprises, sauf une que Jerry a su glisser dans l'album. Reprises, certes, mais à la sauce Grateful Dead." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Anthem of the sun" (1968)
"Avec «Anthem of the sun», on rentre de plein pied dans ce que le Grateful Dead sait faire de mieux et est le seul à faire. Un pur disque psyché dans tous les sens du terme où chaque chanson pourrait être un hymne du groupe. Symbole de la fin des années 60, cet album est une révolution dans le rock'n roll californien." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Aoxomoxoa" (1969)
"Sorti en 1969, «Aoxomoxoa» est le troisième album du Grateful Dead. Il fait partie des indispensables du groupe. A cette époque le groupe vient d'intégrer le percussioniste Mickey Hart et le pianiste Tom Constanten. Le tout pour un album original où l'on retrouve de nombreux classiques du Dead." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "From the Mars hotel" (1974)
"Cet album est un peu bâtard sur les bords. On y retrouve des chansons typiques du Grateful Dead, comme d'autres qui sont, n'ayons pas peur des mots, totalement commerciales. Mais il est incontournable dans une collection, car la composition «Unbroken chain» vaut le détour." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Blues for Allah" (1975)
"Pour ceux qui ne connaissent pas bien le Grateful Dead, cet album est une très bonne première approche du groupe. Sorti en 1975, cet album est à l'image de la «renaissance» du groupe. Abouti musicalement, il est aussi un peu plus funky que ce que le Dead avait proposé jusqu'à présent." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Bill Graham's Fillmore East 2-11-69" (2 CDs)
"pourquoi s'intéresser particulièrement à celui-là? Parce qu'il est fabuleux, parce que c'est un des cinq meilleurs disques du Dead toutes catégories confondues" (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Dick's picks vol.9, Madison Square Garden, N.Y.C. 9-16-90" (3 CDs)
"Le premier intérêt des Dick's picks, c'est leur prix" (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Dick's picks vol.10, Winterland Arena 12-29-77" (3 CDs)
"Parler de musique, c'est pas facile. Ecrire, c'est pire : on peut vous relire. Alors quand il s'agi
t du Grateful Dead, ce ne sont plus les mots qui manquent, mais les superlatifs" (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Dick's picks vol.12, Providence Civic June 26, 1974 & Boston Garden June 28, 1974" (3 CDs)
"Pas de concert dans son intégralité cette fois, mais deux seconds sets de deux concerts consécutifs de la tournée nord-américaine de l'été 1974 : de la bombe, je vous dis" (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Dick's picks volume 13 - Nassau coliseum 5/6/81" (Grateful Dead Records)
"La surprise sur ce deuxième disque c'est la présence du ghost track. Contrairement à de nombreux ghost tracks, vous n'aurez pas beaucoup à attendre avant d'y arriver. Je pourrais vous dire de quoi il s'agit, mais l'intérêt du ghost track, c'est justement qu'il est ghost. Alors à vous la surprise." (Lire la chronique complète)
• The Other Ones : "The strange remain" (Arista/Grateful Dead Records, 1999)
"Les concerts devaient être géniaux. Avec Bob Weir, Phil Lesh, Mickey Hart et Bruce Hornsby jouent ici le saxophoniste Dave Ellis, les guitaristes Steve Kimock (de Zero) et Mark Karan (??) et le batteur John Molo (??), biens connus du public ricain" (Lire la chronique complète)
• Phil Lesh and Friends : "And love will see you through" (Grateful Dead Records, 1999)
"Enfin, depuis le temps qu'on m'en parle des fameux concerts de Phil Lesh and Friends. Tout d'abord, je m'attendais à écouter un de ceux avec Phish, mais c'est avec Jorma Kaukonen, Pete Sears, Steve Kimock et Prairie Prince (batteur du Jefferson Starship)." (Lire la chronique complète)
• The Grateful Dead : "Grayfolded" (réédition 1999, 2 CDs)
"«The Grateful Dead are not the best at what they do, they are the only ones who do what they do» (Bill Graham*).
On peut dire la même chose de John Oswald car le travail effectué sur cet album est sans précédent: après avoir passé trois semaines enfermé dans le coffre où sont détenues toutes les bandes du Dead (un conte de fées pour tapers**), sélectionné près de 40 heures et 70 versions de "Dark star", il nous délivre ici un collage incroyable à faire pâlir tous les ingénieurs du son***, Dj's et autres mix-masters." (Lire la chronique complète)

• Jimi Hendrix Experience (the) : "BBC Sessions" (1967-69)
"le double-CD "BBC sessions" comprend en fait les 17 titres de "Radio One" qui lui est sorti moultes fois sur divers labels, agrémenté de 13 inédits et d'un superbe livret" (Lire la chronique complète)

• Homegrown : "A compilation a original music" (Homegrown Music Network, 1996)
"Oui le groove est vraiment la tendance qui s'impose (moins que le rap bien sûr) aux Etats-Unis ces 5 dernières années. Mais comment faire pour se tenir au courant?" (lire la chronique complète)

• Bruce Hornsby : "Spirit trail" (1998)
"Vous souvenez-vous de "The way it is"? Un morceau top des années 80 du gars Bruce et des Range. Ben là, les Range ne sont plus et Bruce, le copain de Dylan et de Bela Fleck, revient avec un double album. Un savant mélange de jazz, blues, gospel, New-Orleans' sound, de la bonne musique américaine quoi. Un peu Randy Newman et beaucoup Jerry Garcia" (Lire la chronique complète)

• It's a Beautiful Day : "It's a beautiful day - Marrying maiden" (1998)
"C'est de l'acid-rock qui se passe d'acide, du bluegrass harmonique avec un leader au violon électrique folk-rock parfois bien énervé" (Lire la chronique complète)

• Jazz is Dead : "Blue light rain" (Zebra / Warner, 1998)
"La musique du Grateful Dead peut supporter l'amateurisme à la rigueur, mais pas la rigueur, le manque de chaleur, d'amour, d'aisance et de liberté" (Lire la chronique complète)

• Jefferson Airplane : "Live at the Fillmore East" (1968)
"On les retrouve, dans ce mélange de deux concerts de Mars 68, égaux à eux-mêmes : entre sublime et cafouillage" (Lire la chronique complète)

• Juggling Suns : "Living on the edge of change" (Hydrophonics, 1997)
"Pas besoin de savoir grand-chose sur ce disque pour le conseiller : c'est ce qu'on a trouvé qui se rapproche le plus, dans le bon sens du terme, d'un live de Phish" (lire la chronique complète)

• King Crimson : "Absent lovers" (King Crimson/DGM/MSI, 1998)
"À classer non pas dans le progressif, notion à la con, mais plutôt entre des témoignages live du Dead et de Zappa" (Lire la chronique complète)

• KVHW : "Live In Concert - Recorded live 9/28/98 and 10/24/98"
"Dix ans après l'extraordinaire "Junta" de Phish, on trouve des jams bands tel KVHW, tres tres inspirés «En concert, ce que je prefère c'est percher les gens!»." (Lire la chronique complète)
• KVHW : "Life at the lip" (1999)
"Le premier album, live lui aussi, chroniqué il y a quelques mois dans ce magazine web, était déjà twès twès bon et nous faisait saliver de la bave couleur smarties aux bords des lèvres à l'idée de les voir prochainement sur scène." (Lire la chronique complète)
• Steve Kimock Band : "Live from the West Coast" (2000)
"Chacun des 5 morceaux est une aventure construite, une intro douce, planante, pour amener le thème, qui intéresse, et est développé avec brio pour s'envoler ensuite dans le solo de guitare, léger, gai, satiné." (Lire la chronique complète)
• Steve Kimock Band : "Live in Colorado" (2002)
"On voyage à chaque morceau, chaque instrument est maîtrisé, on vogue, le thème est bien sûr encore là, mais la visite est si prenante, toute possibilité de jam est exploitée avec un brio surprenant." (Lire la chronique complète)

• Led Zeppelin : "BBC sessions" (1998)
"Le magazine anglais (plutôt recommandable) MOJO a fait 2 pages sur ces sessions (avec deux pages d'interview de Page et Plant). Verdict : Mojo Masterpiece" (Lire la chronique complète)

• Leftover Salmon : "Bridges to Bert – Polyethnic Cajun bluegrass" (Hollywood Records, 1997)
"Bon, "Pasta on the Mountain" comme pastiche du Dead (avec guitare à la Gacia), c'est drôle, mais on avait déjà fait "Fire Up the Ganja"…" (lire la chronique complète)

• "Liquid Tension Experiment #1" (Magna Carta, 1998)
"LTE est sans doute l'expérience musicale la moins scientifique mais la plus créative des années quatre-vingt dix. Tout commence à la fin 1996, quand Magna Carta demande à Mike Portnoy, le fantastique batteur de Dream Theater, de réunir quelques musiciens phares du prog autour d'un concept." (Lire la chronique complète)
• "Liquid Tension Experiment #2" (Magna Carta, 1999)
"Mike Portnoy n'est pas du genre à bouder une opportunité de faire de la bonne musique avec de bons musiciens. Il réunit donc une nouvelle fois ses acolytes de «LTE #1», Tony Levin, Jordan Rudess et John Petrucci, et hop c'est reparti pour une semaine de jams, de délires, de compositions à l'arrache, d'enregistrements live aux Milbrook Studios..." (Lire la chronique complète)

• Harvey Mandel : "The snake" (1972)
"Lorsque l'on écoute, on tombe des nues : ce guitariste est génial!" (Lire la chronique complète)

Discographie Dave Matthews Band :
• The Dave Matthews Band : "Remember two things" (Bama Rag Records, 1993)
"Premier disque (autoproduit) sorti par Dave Matthews Band, le meilleur groupe des années quatre-vingt dix avec Phish, «Remember Two Things» rassemble huit titres enregistrés live lors de trois concerts différents et deux autres en studio." (Lire la chronique complète)
• Dave Matthews Band : "Live at Red Rocks 8.15.95" (RCA/BMG, 1997)
"Écoutez, ce n'est que le premier d'une longue série d'enregistrements live de Dave Matthews Band. C'est très américain, un peu mélancolique parfois, mais ça groove terriblement" (Lire la chronique complète)
• Dave Matthews Band : "Live at Red Rocks 8.15.95" (RCA/BMG, 1997)
"Août... le mois le plus chaud de l'année, mais aussi la fin de l'été, et cette petite mélancolie qui s'installe tous les ans à la même époque, sans qu'on sache trop pourquoi... «Live At Red Rocks» représente à la perfection cette double atmosphère : chaleur et mélancolie, énergie et moiteur." (Lire la chronique complète)
• Dave Matthews Band : "Before these crowded streets" (RCA/BMG, 1998)
"En fait, ne pas aimer Dave Matthews c'est rejeter les fondements de la musique et refuser le bonheur qu'elle peut procurer" (Lire la chronique complète)
• Dave Matthews Band : "Listener supported" (RCA/BMG, 1999)
"Enregistré en Décembre 99 au Continental airlines Area, le double live est une session énorme de musiciens réunis pour laisser exploser les notes du violon à la limite du cajun trempé au funk, des saxs qui s'y accordent, un batteur grandiose qui pose une multitude de styles sur les melopées de plus en plus mikegordonesques d'un bassiste métronomique et inventif à souhait..." (Lire la chronique complète)
• Dave Matthews Band : "Everyday" (RCA/BMG, 2001)
"Première écoute: j'ai envie de me suicider. Kill Ballard, kill kill" (Lire la chronique complète)

• Moe. : « Headseed » (Fatboy Music/Import US, 1994)
"Formidable aux 3-4 premières écoutes. Va donc falloir essayer de trouver quelques lives. Comme d'hab" (Lire la chronique complète)

• Nuggets : "Original artyfacts from the first psychedelic era 1965-68" (Rhino Records)
"Essentiel. Les origines du garage-rock, du punk-rock, du rock psychédélique, le meilleur des singles cultes ou inconnus américains de la période 65-68" (Lire la chronique complète)

• Ominous Seapods : "Matinee idols" (Hydrophonics/Megaforce, 1998)
"Un jam band en concert... Il faut bien l'avouer, ce n'est pas ce disque qui fera sortir ce groupe de l'anonymat dans lequel il se trouve, du moins de ce côté de l'Atlantique." (Lire la chronique complète)

Discographies Phish et Primus:
Oysterhead : "The grand pecking order" (2001)
"Quand Trey Anastasio et Les Claypool apparaissent sur le même disque, j'aimerais bien un peu plus d'enthousiasme de la part des gens autour de moi, les fabricants d'autocollants et les caissières bien sûr, mais également les bouchers, les banquiers, les petits enfants tous mignons, les flics, les coursiers, et les gens du voyage aussi. Tout le monde!" (Lire la chronique complète)

• Ozric Tentacles : "Waterfall cities" (Phoenix, 1999)
"Depuis leurs débuts en 1983, où ils ont en quelque sorte servi de pont entre le rock cosmique des années soixante-dix et la techno/ambient des années quatre-vingt dix, les cinq membres d'Ozric Tentacles poursuivent le même quête: nous transporter dans d'autres univers, improbables et psychédéliques." (Lire la chronique complète)

• Percy Hill : "Straight on 'til morning" (Percy Hill Records, 1995)
"Percy Hill sonne très blanc, mélodique, jam band certes, mais mélodique. Ceci allié à la douceur de leurs voix pourrait les faire souffrir d'une réputation de groupe un peu gentil... Bon, gentil, Percy Hill l'est ou ne l'est pas, c'est quand même pas mal du tout." (Lire la chronique complète)

Discographie Phish :
• Phish : "The White tape" (1984-86)
"Que les choses soient claires: il ne s'agit pas d'un album de Phish au même titre que "Junta", et ceux qui suivirent. Il ne s'agit pas non plus d'une obscure version du "White Album" des Beatles, mais plutôt d'un document sur les débuts du groupe" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Junta" (1988)
"Pensez à l'originalité de ce disque (sorti en 1988) alors que la terre entière était branchée New Kids On The Block, au talents de musiciens exprimés ici" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Lawn boy" (1991)
"Phish enregistrent tout ce qu'ils savent faire et le mélangent à leurs improvisations psychédéliques avec une intelligence et un humour déconcertants" (Lire la chronique complète)
• Phish : "A picture of Nectar" (1992)
"Celui-là est à mon avis le plus accessible de tous les albums de Phish" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Rift" (1993)
"Leur premier concept album (à propos de l'onirisme), complêtement abouti, presque parfait" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Hoist" (1994)
"Dur dur pour les fans qui attendaient ce disque impatiemment, à l'époque" (Lire la chronique complète)
• The Dude of Life and Phish : "Crimes of the mind" (1994)

"pour fans dégénérés uniquement" (Lire la chronique complète)
• Phish : "A live one" (1995, double live album)
"Stash et Gumbo ont le rhytme du soleil dans la peau. Tout le public devait danser" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Stash" (1995, compilation pour l'Europe)
"Quelle horreur. Une compilation de Phish hyper mal foutue, complètement inécoutable" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Billy breathes" (1996)
"Pas de jam d'un quart d'heure, juste une collection de très très belles chansons" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Slip, stich and pass" (1997, live album)
"Ce concert est fantastique, excellent, à tel point qu'ils se permettent même de se moquer de certaines de leurs références" (Lire la chronique complète)
• Phish : "The story of the ghost" (1998)
"Non. Le Rock'n'Roll n'est pas que turipitudes d'adolescent frustré et coléreux, dont la créativité musicale la plus débordante se limite à décliner toutes les teintes de gris de sa ville minière natale sur 3 accords sur une guitare rouillée qui en veut au monde entier. Non" (Lire la chronique complète)
• Phish : "Live at Zeleste, Barcelona (09/07/98)
"LE concert de la tournée européenne de l'été 98, tout simplement!" (Lire la chronique complète)
• Trey Anastasio (from Phish) : "One man's trash" (1998)
"Anastasio sait parler rien qu'avec sa musique, avec des "bruits", des nuages sonores. Les instruments et autres machines ne sont pas sa voix, ce sont ses cordes vocales. Eh, vous savez comment ça fait, vous, de la boue dans l'œil?" (Lire la chronique complète)
• Phish : "The Siket disc" (1999)
"y figurent des morceaux qui sont plus des jams, des improvisations restées au stade expérimental et instrumental que de vraies compositions. Enfin en gros. En fait, c'est l'ingénieur du son, le dénommé Siket, qui a rembobiné les bandes qui tournaient pendant que Phish enregistrait en studio, les a écoutées et a eu la juteuse, la justicieuse, la judicieuse idée de nous faire un petit mix de tout ça." (Lire la chronique complète)
• Phish : "Hampton comes alive" (1999)
"c'est presque la parfaite introduction au monde merveilleux de Phish, presque parce qu'il est loin d'être parfait, loin d'être "The ultimate Phish experience", et un investissement bien conséquent (6 CDs, 60$!) avant d'aller surtout se jeter sur les 4 premiers albums, avant de découvrir qu'un réseau international d'échange de cassettes, DAT et CD-R de concerts existe et permet de s'abreuver gratuitement et à volonté de cette musique enchanteresse, la plus positive sur cette terre à ce jour." (Lire la chronique complète)
• Phish : "Farmhouse" (Elektra/East-West, 2000)
"Faisons enrager le Ob!... Comment peut-on se permettre de chroniquer un album de Phish quand on a pas écouté les différents lives des mois qui ont précédé??? Bon, certes et recertes, c'est la larme au groin que je l'avoue honteusement: je ne suis pas un phishead et pourtant... J'AIME FARMHOUSE! Et ceci pour 12 raisons précises" (Lire la chronique complète)

• John Popper : «Zygote» (A&M/Universal, 1999)
"Blues Traveler en France? On trouve parfois quelques disques épars dans les rayons blues de nos disquaires, ça s'arrête là. En fait Blues Traveler dépassent du cadre «blues» stricto-sensu (et inversement): ils jouent plutôt dans la catégorie «énorme jam band qui déchire pendant 2-3 heures à coup de chansons à rallonge (ou pas) et d'impros pas piquées des hannetons», filiation Allman Brothers Band, spécialisation solos d'harmonica, à ranger aux côtés de Dave Matthews Band et autres Phish... John Popper est le chanteur/harmoniciste de Blues Traveler." (Lire la chronique complète)

Discographie Primus :
• Primus : "Suck on this" (1989)
"nous nous sommes vus contraints de ne pas classer ce groupe dans une case inapropriée et réductrice et de le laisser continuer à nous astiquer les cellules à coup de heavy blues funk rock teinté de jazz bruitiste" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Frizzle fry" (1990)
"c'est un des meilleurs album rock indé croisé funk métal de tout les temps, (...) c'est une bible de la basse" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Sailing the seas of cheese" (1991)
"Une séance de pêche sur les mers de fromage à décrire the american life serait ainsi le meilleur remède à tout ce qui nous pose des problèmes dans la vie de tous les jours ou de tous les genres" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Miscellaneaous debris" (1992)
"Quand E.P. veut dire Etrange Primuserie" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Pork soda" (1993)
"Certains le trouvent particulièrement glauque donc pas bien tandis que moi, je le trouve extraordinaire mais différent" (Lire la chronique complète)
• Sausage : "Riddles are abound tonight" (1994)
"Du rock indé inspiré Primus, forcément, un peu plus poussé dans le jazz grâce à une formation trio qui fait des montagnes russes sur ses instruments" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Tales from the punchbowl" (1995)
"le résultat est grandiose mais ce n'est plus Primus tant cet album est rempli de nostalgie et de souvenirs d'enfance" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Wynona's big brown beaver" (single, 1995)
"Quand le gros castor marron de Wynona sort en single, il sait s'entourer" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Mrs. Blaileen" (single, 1995)
"C'est l'histoire d'un garçon qui retombe en enfance régulièrement et le problème c'est qu'il a une mémoire d'éléphant : normal pour un primusien" (Lire la chronique complète)
• Les Claypool and the Holy Mackerel presents : "Highball with the devil" (1996)
"Il y a bien des siècles, sur cette terre, dans notre univers, les maquereaux régnaient avec une nageoire de fer sur la terre" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Brown album" (1997)
"l'album est encore plus fou, plus étrange. Si vous n'avez jamais écouté Primus, se serait de bon goût de s'y mettre" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Rhinoplasty" (1998)
"Après 7 albums plus un 9 titres de reprises, Primus nous refait le coup du : Et si on jouait des trucs qu'on aime bien mais qu'on a pas écrit?" (Lire la chronique complète)
• Primus : "Antipop" (Interscope/Universal, 1999)
"Primus continue a prouver que la ganache d'idiot n'a rien de péjorative: il suffit d'avoir du talent, et du talent ils en ont." (Lire la chronique complète)

• Tim Reynolds : "Astral projection" (Bama Rags Records/Import US, 1999)
"En fait, Tim Reynolds est un guitariste qui se prend quelquefois au jeu du live avec Dave Matthews, en duo de guitare folk eclairé par les sonorites jazzo-mélodiques des sarabandes de notes qui caressent le cortex de tout un chacun, et laissent la tristesse d'une musique trop vite interrompue par une fin." (lire la chronique complète)

• Santana : « Supernatural » (Arista/B.M.G., 1999)
"Nous sommes dans le nouveau dessin animé de Santana, "Supernatural". Carlos y joue le Droopy présent à tous les coins de rue: "I'm a guitarist you know". De multiples autres toons du show bizz viennent faire les guest-stars sur la majorité des titres. Et alors donc? Et bien oui c'est ultra-cheesy!" (Lire la chronique complète)

• Merl Saunders and his Funky Friends : "Live !" (Sumertone, 1998)
"Serait-ce le seul disque rassemblant Jerry Garcia (Grateful Dead), Trey Anastasio (Phish), John Popper (Blues Traveler) et Dr John – entre autres invités?" (lire la chronique complète)

• Sector 9 : «Interplanetary escape vehicle» (Landslide, Records, 1999)
"Est-ce du funk? de la fusion? du jazz? Des jams psychédéliques? Mais qu'est-ce-que c'est que ce groupe: guitare, basse, batteire, claviers, pas de chanteur??? Et oui, encore un album instrumental (live, celui-là), mais à une époque où moultes jeunes (et moins jeunes) consomment à outrance des albums instrumentaux électroniques (qu'on appelle plus généralement et vulgairement de la «techno» ou de «l'electro»...), pourquoi ne pas s'intéresser aussi à la version acid-live-jam-rock de la chose?" (lire la chronique complète)

• Solar Circus : "Twilight dance" (Relix Records, 1992)
"Disons que ça se laisse bien écouter. Mais le problème avec ces disques de jam bands qui sortent comme ça est justement qu'ils parviennent rarement à recréer l'atmosphère de leurs concerts et que, faute de disposer de talents de musiciens vraiment hors-pairs ou d'un style qui sert de marque de fabrique, un style à soi, quoi, eh bien (oui, terminons vite cette phrase qui s'allonge inutilement), eh bien disais-je donc on risque de se lasser assez rapidement." (lire la chronique complète)
• Solar Circus : "Live" (Ambient Productions, 1996)
"Nouveau live de Solar Circus, jam band du new Jersey aux influences Grateful Deadiennes évidentes. On n'en souhaiterait pas tant. Heureusement ce n'est pas du plagiat, et on trouvera quand même quelques bonnes raisons de mettre ce disque sur sa platine." (lire la chronique complète)

• Soup : "A tour of 2 cities" (Phoenix, 2 CDs, 1999)
"Imaginez-vous d'un seul coup projeté sur un campus américain, en plein milieu d'un concert gratuit donné par un groupe de zicos de la Syracuse University, pleins d'énergie et sans aucune prétention, juste là pour faire danser l'auditoire... Vous visualisez? A peine la musique commence-t-elle que déjà vos pieds battent le rythme, vos mains aussi d'ailleurs, et tout votre corps se met à gigoter... C'est irrésistible." (Lire la chronique complète)

• Spock's Beard : "Live At The Whisky And Nearfest" (Radiant Records, 1999)
"On ne le répètera jamais assez, Spock's Beard est sans doute le plus spontané et enjoué des groupes de progressif actuels, prenant en quelque sorte le relais de Yes sur le terrain de l'optimisme débordant et communicatif." (Lire la chronique complète)

• Strangefolk : "Lore" (Autonomous Records, 1995)
"Ils ont beau venir de Burlington, Vermont, "ronf zzzzz, ronphlzzzz..."." (lire la chronique complète)

Discographie Sci-fidelity Records :
• The String Cheese Incident : "Born on the wrong planet" (1996)
"On a beau dire, ils ont quand même du bol ces ricains. Imaginez la scène: Tri Yann sillonnant le pays, entraînant derrière eux une flopée de Yann-heads tout de cheveux vêtus, sentant bon la sueur et l'herbe fraîchement roulée, arborant le sourire béant du type qui sait bien qu'à chaque concert auquel il va assister il aura le droit à plus de trois heures d'impros à te faire gigoter un Raymond Barre. Autant dire que c'est plutôt improbable, et c'est là où je voulais en venir: nous, on a l'accordéon, eux ils ont le bluegrass." (lire la chronique complète)
• The String Cheese Incident : "A string cheese incident" (1997)
"BAM! Grosse baffe dans nos oreilles! String Cheese Incident est vraiment un groupe incroyable, ils sont déjà au niveau de Phish, c'est dire. Leurs jams, surtout, sont fabuleuses." (lire la chronique complète)
• String Cheese Incident : "Round the wheel" (Sci Fidelity Records, 1998)
"Après une quinzaine d'écoutes en quelques jours, nous pouvons vous le certifier : il ne faut pas rater ce groupe s'il passe en concert près de chez vous" (lire la chronique complète)
• The String Cheese Incident : "Carnival'99" (Sci Fidelity Records, 1999)
"Ce groupe vous initiera aux délices sonores des longues improvisations (jams) au son d'un jazz parfumé au bluegrass, à moins que ce ne soit l'inverse, vice-versa et réciproquement. Enfin pareil mais plus ou presque." (lire la chronique complète)

• T.I.M.M.I.B. : "The Incredibly By Rhe Rivers Of Babylon Sessions" (T.I.M.E.C., 1999)
"Ainsi on peut retrouver autours de cette petite session live but alone, une multitude de personnages digne des plus grandes défonces de Lewis Carrol." (lire la chronique complète)

• Transatlantic : "SMPTe" (InsideOut, 2000)
"Consciemment ou non, l'accent est donc mis sur ce concept complètement dingue de réunir les représentants des quatre meilleurs groupes de rock progressif du moment: Roine Stolt (guitariste des Flower Kings), Neal Morse (chanteur de Spock's Beard), Mike Portnoy (batteur de Dream Theater) et Pete Trewavas (bassiste de Marillion)." (Lire la chronique complète)

• Tony Trischka Band : "Bend" (Rounder Records, 1999)
"En fait, Tony Trischka est le sosie de Trey Anastasio, tant physiquement que dans son jeu, si ce n'est que lui, il tâte du banjo" (Lire la chronique complète)

• Various Artists : «Help us get high» (Sanachie, 1999)
"Cette compilation, évoquant cette image du parking lot et de ses hippies fous de musique et de good vibes, regroupe en fait à moindre coût (10$) une dizaine de titres live de jam bands de la dernière génération, les jeunes, les nouveaux venus sur la scène groove-rock indépendante américaine." (lire la chronique complète)

• Tom Waits : "Mule variations" (Epitaph/PIAS, 1999)
"De la même façon qu'un groupe comme Primus, Tom Waits a trouvé sa voie, son style, son univers musical et parolier dans lequel il s'exprime mieux que quiconque et comme personne (et inversement)" (Lire la chronique complète)

• Rob Wasserman & Bob Weir : "Live" (Grateful Dead Records, 1998)
"Le second guitariste du Dead (avec Garcia) Bob Weir avec l'ancien bassiste de Lou Reed Rob Wasserman pour un show acoustique très Deadesque enregistré à l'automne 1988" (Lire la chronique complète)

• Chuck E. Weiss : « Extremely cool » (Rykodisc/Harmonia Munid, 1999)
"Pour ceux qui aiment le blues, Tom Waits, l'alcool, les ambiances enfumées, le bluegrass, le bottleneck, les guitares dobro..." (Lire la chronique complète)

• Widespread Panic : "Light fuse get away" (Capricorn, 1998)
"Widespread Panic arrive à créer quelque chose d'unique, un son, une musique qui leur est propre et en définitive incomparable, malgré toutes les influences évidentes" (lire la chronique complète)
• Widespread Panic : "Til the medicine takes" (Capricorn, 1999)
"Portez votre attention sur « Blue indian ». Véritable joyau niché au creux de cet album qui est loin de l'être" (lire la chronique complète)

• Wilco : "Summer teeth" (Reprise/WEA, 1999)
"Wilco c'est la rencontre du rock folkeux américain à la sauce Paul Mc Cartney, un juste retournement de valeurs" (Lire la chronique complète)

Discographie Sci-fidelity Records :
• Keller Williams : "Freek" (auto-produit, 1994, 1er album)
"Plutôt du genre posé, mais attention aux redoutables bing et tzwing, ceux-ci vous font un tzwicabingazwing des familles qu'on peut résumer en deux mots: ça groove. Oui ce musicien est vraiment à part." (Lire la chronique complète)
• Keller Williams : "Buzz" (Basile Leaf Music, 1996, 2ème album)
"Que faire? Que vous dire afin que vous plongiez vos oreilles, comme on plonge un doigt dans une casserole de chocolat, dans la délicieuse musique de Keller Williams?" (Lire la chronique complète)
• Keller Williams : "Spun" (Basil Leaf Music, 1998, 3ème album)
"Troubadour de l'autoroute, poête au quotidien, musicien bohémien, acoustic human groove machine dont les jeux de mots et de guitare n'ont d'égal que sa voix, Keller Williams, enfant naturel de Kerouac, du Dead et des grands espaces, mutant du bout des doigts, est aussi inspiré dans ses compositions qu'avec celles des autres; véritable amoureux de la musique et pas que de la sienne, donc, il a tout de l'Huckleberry Finn version le-petit-rasta-dans-la-prairie de cette fin de siècle." (Lire la chronique complète)
• Keller Williams & the String Cheese Incident : "Breathe" (1999, 4ème album)
"Pose ton sac, mets-toi pieds nus et allonge-toi dans l'herbe fraîche sur la colline; tu vois ces gros nuages blancs qui passent lentement au-dessus de toi? Ecoute, respire-moi cette musique comme elle est douce, comme elle est ronde, comme elle est fine. C'est comme ces nuages, on y est si bien qu'on voudrait s'enrober dedans." (Lire la chronique complète)
• Keller Williams : "Live at The Fox Theater, Boulder, CO, 04-21-99"
"Keller Williams sait tout faire. Sur sa guitare dix cordes, il joue en même temps ses lignes de basse et sa mélodie, quand il ne frappe pas la caisse de résonance pour émuler les percussions. En plus de cela, Dieu (qui est quelqu'un de très partial) a doté Keller Williams d'organes vocaux exceptionnels qui lui permettent de recréer des cuivres (notamment la trompette) plus vrais que nature, ou de chanter mieux que je ne le ferai jamais. Y'a de quoi être dégoûté." (Lire la chronique complète)

Discographie Frank Zappa :
• The Mothers of Invention : "Freak out" (1966)
"Freak Out pose déjà les bases de ce que Zappa développera tout au long de sa carrière : humour non-sensique, virtuosité de la composition, positionnement politique et joyeux bordel" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "Absolutely free" (1967)
"Comme le titre le laisse présager, la musique ici est éclatée, ne servant plus de simple support aux paroles" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Lumpy Gravy" (1967)
"Zappa sort en 1967 son premier essai de musique contemporaine" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "We're only in it for the money" (1968)
"Les paroles, fustigeant les clichés hippies sont à hurler de rire" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "Cruising with Ruben & the Jets" (1968)
"Dernière tentative avouée pour passer à la radio, cet album est un hommage mi-parodique mi-révérencieux à la musique doo-wop des années 50" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "Uncle meat" (1969)
"Bon autant le dire tout de suite cet album est un véritable bijou monumentalement chef d'oeuvriesque" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Hot rats" (1969)
"Plus connu sous le nom de L'album-de-Zappa-que-même-ceusse-qui-aiment-pas-zappa-aiment" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "Burnt weeny sandwich" (1969)
"L'album aurait pu s'appeler 'Son of Uncle Meat' puisque les morceaux studios et live qui le composent ont été enregistrés approximativement à la même période" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "Weasels ripped my flesh" (1970)
"Hommage 2 aux feu Mothers of Invention, "Weasels" se compose principalement de morceaux live agrémentés d'over-dubs à-la-zappa" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Chunga's revenge" (1970)
"Album transitoire, "Chunga" propose deux parties assez distinctes. L'une jouée par les musiciens de l'album et de la tournée "Hot Rats", l'autre proposant de nouveaux membres pour les Mothers" (Lire la chronique complète)
• The Mothers : "Fillmore East June 1971" (1971)
"Premier live des nouveaux Mothers, compile d'extraits de deux concerts donnés les 5 et 6 juin 71 au Fillmore East, cet album restitue fidèlement la folie de cette formation sur scène" (Lire la chronique complète)
• "Frank Zappa's 200 Motels" (B.O.F., 1971)
"Vous avez vu le film? Vous avez aimé? Vous vous lavez les dents au PCP?" (Lire la chronique complète)
• The Mothers : "Just another band from L.A." (1972)
"S'il n'y a qu'un album a écouter de la période Volman/Kaylan c'est bien cette compile de morceaux live très représentative de cette formation et surtout plutôt agréable, si si" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Waka / Jawaka" (1972)
"Cet album se présente comme la suite de "Hot Rats" (voir les robinets sur la pochette) et s'y apparente de par son ton résolument jazz-rock" (Lire la chronique complète)
• The Mothers : "The grand Wazoo" (1972)
"Galette incontournable du maestro et probablement du jazz-rock en général, "Grand Wazoo" développe l'histoire de Cletus Awreetus-Awrightus et son armée de musiciens au chômage bataillant contre les Mediocrates qui, n'ayant aucun goût musical, cherchent à percer le secret du Grand Wazoo de Cletus" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Over-nite sensation" (1973)
"Retour en force de Zappa puisque ce disque se vendra comme des coussins pèteurs pour un banquet de commerciaux" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Apostrophe" (1972)
"Cet album suit de près "Overnite sensation" aussi bien pour la texture sonore, la durée des morceaux que les musiciens. La première édition CD des albums de Zappa regroupait d'ailleurs les deux sur un même disque" (Lire la chronique complète)
• Zappa / Mothers : "Roxy & elsewhere" (1974)
"Alors ce magnifique live? Et bien tout simplement magnifique, grandiose, si j'osais, je dirais que On ne peut plus faire ça sur scène" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa & the Mothers of Invention : "One size fits all" (1975)
"Ici, la virtuosité de l'interprétation, le travail énorme sur le son et l'homogénéité de l'ensemble priment sur la prise de risque et c'est tant mieux" (Lire la chronique complète)
• Zappa / Beefheart : "Bongo fury" (1975)
"Zappa décide d'organiser une tournée de deux mois en 1975 : le 'Bongo Fury Tour' et comme toujours d'immortaliser la réunion sur un album, franchement bluesy" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Zoot allures" (1976)
"George Duke et Ruth Underwood ayant déserté le navire (snif...), Zappa décide de sortir un album avec une formation réduite à sa plus simple expression, pour en fait l'enregistrer presque seul" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "In New York" (1977)
"Explorant sa discographie depuis "Freak Out", Zappa propose avec ce "In New York" un éventail assez large de morceaux joués cette fois ci par un orchestre limite big band" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Läther" (1978-77) qui regroupe "Studio tan" (1978), "Sleep dirt" (1979) et "Orchestral Favorites" (1979)
"En 1996 "Läther" est enfin édité et comprend le matériel des trois escroqueries susnommées mais cette fois-ci dans l'ordre voulu par le maestro, avec un son à la hauteur de la finesse des compositions" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Sheik Yerbouti" (1979)
"Étonnant si l'on considère que cet album est le plus ouvertement caustique qu'ai produit Zappa" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Joe's garage" (1979)
"Information is not knowledge, Knowledge is not wisdom, Wisdom is not truth, Truth is not beauty, Beauty is not love, Love is not music, Music is THE BEST" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Tinseltown rebellion" (1980)
"l'album souffre du même problème récurant depuis "Sheik Yerbouti", l'utilisation massive et souvent crispante de synthés" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Shut up 'n play yer guitar" (1981)
"Près d'une heure quarante cinq de solos non-stop, d'exploration musicale débridée – jazz, baroque, hard, contemporain, rock, blues – et pas une seconde d'ennui" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "You are what you is" (1981)
"Aie, ça m'ennuie toujours de dire du mal de Zappa mais la franchement je place cette galette à peu près aussi haut dans mon oreille que le dernier Bon Jovi en date" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Ship arriving too late to save a drowning witch" (1982)
"Frank suit son chemin hardrockeuxFMwestcoast et nous gratifie une fois de plus d'un album bancal avec ses perles" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "The man from Utopia" (1983)
"Décidément les 80's n'auront pas été très bénéfiques à Zappa et ces chroniques deviennent de plus en plus courtes" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Baby snakes" (1982)
"Procurez-vous plutôt la vidéo" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "London Symphony Orchestra vol I & II" (1983)
"Malgré le pur coté symphonique, Zappa ne peut évidemment pas s'empêcher de placer deux ou trois idées assez surprenantes" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Boulez conducts Zappa : The perfect stranger" (1984)
"Je ne peux décemment pas chroniquer cet album étant résolument hermétique à la musique de Boulez, sinistre, austère, mortellement sérieuse, je ne peux pas" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Them or us" (1984)
"Arghhhh pourquoi m'oblige-t-on à dire que cet album n'échappe pas à la règle : Steve Vai + Zappa = Hard rock FMTV!" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Thing-fish" (1984)
"Si une chose est à rattraper sur "Thing Fish" ce sont exclusivement les paroles, franchement drôles, de cette comédie musicale qui n'a de musicale que le numéro de catalogue" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Francesco Zappa" (1984)
"cet album est le premier entièrement réalisé par Zappa sur son synclavier (sorte de sampler, assembleur qui permet à Zappa de diriger un orchestre philharmonique entier, mais sans les musiciens)" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Meets the Mothers of Prevention" (1985)
"Et quelle chance quand on pense qu'on aurait pu se taper le dernier Thompson Twins ou le futur Erasure" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Does humor belong in music?
"Premièrement les morceaux ici n'ont rien a voir avec la video du même nom. Deuxiemement c'est un live… Donc parfait… donc indispensable" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Jazz from Hell" (1987)
"De jazz l'album ne garde que la liberté de jouer des choses impensables, inhumaines" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Guitar" (1988)
"Suite grandiose à "Shut Up and Play Your Guitar", "Guitar" nous offre un succession de solos Zappaesques" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Broadway the hard way" (1988)
"On attendait mieux de celui qui a ecrit le classique Russians" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "The best band you've ever heard in your life" (1991)
"Et Zappa devient le plus fabuleux chef d'orchestre du monde" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Make a jazz noise here" (1991)
"Autre hommage à la formation de 1988, cet album se concentre sur les prouesses jazzy de la tournée, laissant une large place à l'improvisation" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Playground psychotics" (1992)
"Le plus Aïe dans cette affaire est que cet album est censé être un compte rendu non pas de ce qui se passait musicalement sur scène mais plutôt de la folie qui régnait sur la route et en coulisses" (Lire la chronique complète)
• The Mothers of Invention : "Ahead of their time" (1993)
"Un délire absolu aussi bien musicalement que dans les vannes que chacun se lance à la tête" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "The yellow shark - ensemble modern" (1993)
"Zappa rallie enfin les amateurs de rock, de jazz, de baroque, de classique, de toute forme de musique en fait, tous réunis à l'opéra de Francfort pour ce qui sera l'ultime travail de Frankie" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Civilisation phase III" (1994)
"C'est beau. C'est même magnifique. Ça ressemble à du… euh… Enfin c'est un mélange entre le… OK OK on va dire que c'est aussi rock que Stockhausen, aussi classique que Aphex Twin, aussi groove que Depeche Mode, aussi contemporain que les Beatles, aussi pop que les Chœurs de l'Armée Rouge, aussi vocalisant que Marcel Marceau. Par contre c'est plus musical que la totalité de ta collec de disques à toi qui lis ça en pleurant" (Lire la chronique complète)
You can't do that on stage anymore
À partir de 1988, Zappa édite sous la forme de 6 doubles CD, une anthologie de ses meilleurs moments de concerts avec ses diverses formations. L'ensemble est impressionnant et permet de réellement mesurer le travail accompli pendant toutes ces années. You can't do that on records anymore.
• Frank Zappa : "You can't do that on stage anymore vol 1" (1970-84)
"Brassant toutes les époques le volume 1 se veut un compte rendu de toutes les exagérations et de la folie qui régnait sur scène et en coulisse" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "You can't do that on stage anymore vol 2, the Helsinki concert" (1968)
"Un bijou, peut-être même le seul concert de Zappa à posséder si vous n'en cherchez qu'un" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "You can't do that on stage anymore vol 3" (1971-84)
"Presque même concept que le 2, ce volume se concentre sur plusieurs concerts de la période 1984" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "You can't do that on stage anymore vol 4" (1969-88)
"Moins nécessaire que les précédents mais quand même" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "You can't do that on stage anymore vol 5" (1965-82)
"Le premier disque renferme la période 69 des Mothers (...) vaut à lui seul l'achat du volume" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "You can't do that on stage anymore vol 6" (1970-88)
"Plus classique dans son ensemble ce volume contient quand même son lot de perles" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Mystery disc"
"Mystery Disc reste avant tout un album à recommander aux fans hard-core du maître, et pour ces derniers le plaisir et la délectation sont au rendez-vous" (Lire la chronique complète)
• Frank Zappa : "Cheap Thrills" (Rykodisc/Harmonia Mundi, 1998)
• Frank Zappa : "Son of Cheap Thrills" (Rykodisc/Harmonia Mundi, 1999)

"2 petites compiles (40 minutes chacune) pas chères, non pas pour découvrir Zappa, mais afin de survoler l'immensité de son œuvre (du moins, le haut de l'iceberg) de la manière la plus appropriée qui soit: dans le bordel total" (lire la chronique complète)

• Zero : "Live - Nothin' lasts forever" (1998)
"Zero s'est formé en 1984 autour de Greg Anton (batterie) et du guitariste Steve Kimock, que nous connaissons pour avoir joué avec les membres restants du Grateful Dead, The Other Ones" (Lire la chronique complète)



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