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En attendant d'éventuels remixes du sublissime "The Sunshine Underground", morceau extrait de "Surrender" et presque à même de réveiller un cimetière de deadheads, écoutons donc les deux premiers maxis, "Hey boy hey girl" et "Let forever be".
Single n°1 : Hey Boy Hey Girl / Flashback / Scale
C'est quand même pratique: de la Dance Music suffisamment pop et efficace pour danser même à la maison en faisant les cons: "Hey boy, hey girl, superstar Dj, here we go!". Ça existait déjà dans les années 80 (et c'était vachement bien), ça s'appelait New Order, aujourd'hui ça s'appelle les Chemical Brothers (et c'est toujours super bien). Le maxi vinyle comporte une extended version… que nous n'avons pas entendu (pas facile de récupérer du vinyle en promo). Les deux inédits? Bien, sans plus.
Single n°2 : Let Forever Be / The Diamond Sky / Studio K
C'est Noel Gallagher qui "chante" sur le "tube"! Si, si, le pompeur d'Oasis qui fait que copier les Biteulss. Et bien oui, c'est dommage (vivement "The Sunshine Underground" en single…). Ça doit être un des deux morceaux faibles de l'album. Sinon "Diamond Sky" est très… comment dire… pilule! (sans faire d'apologie de quoi que ce soit). "Studio K", course effrénée sous trip, nous rappelle le meilleur du département électronique de notre label (T.I.M.E.C.), en aussi barré, aussi débile, aussi joyeux, aussi glauque. Un morceau contradictoire, en somme. Chapeau.
Note future space music :  (Djouls) |
