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TOUTES les chroniques Pop:

• 1000 Clowns : « Freelance bubblehead » (Elektra/East-West, 1999)
"En fait quelques tubes pour les moins de 12 ans et pas mal de remplissage" (Lire la chronique complète)

• Joseph Arthur : "Vacancy" (Real World, 1999)
"Dans la lignée des chanteurs à voix particulières, Joseph Arthur se tient fièrement debout entre Bob Dylan et Buckley (de père en fils), avec le côté un tantinet morbide qu'on connaît aux plus grands" (Lire la chronique complète)

• Badly Drawn boy : "EP3" (XL Recordings, 1998)
"Vous vous demandiez qui était le Badly Drawn Boy qui pose sa voix sur le "Nursery Rhyme" d'U.N.K.L.E., et bien voilà" (Lire la chronique complète)

• Ezster Balint : "Flicker" (Scratchie/East/West, 1999)
"MERDE un clone de PJ Harvey! Mais un clone bien, un clone que même PJ risquerait d'avoir du mal à égaler… Si, je vous assure" (Lire la chronique complète)

• Beck : "Mellow Gold" (Geffen/Universal, 1994)
"«Beck ben zen!!!»... dirait n'importe quel spécialiste de la pomme de terre au hareng cuite au four avec des myrtilles, car il faut au moins ça pour décrire la premiere mutation du Beck." (Lire la chronique complète)
• Beck : "The Lollipop Festival" (bootleg, live 26/07/96)
"Le 26 Juillet 1996, période ô combien extraordinaire de Beck, Stockholm recoit ce musicien dérangé à gueule d'adolescent éternel." (Lire la chronique complète)
• Beck : "Tropicalia" (Geffen/Universal, 1998)
"Psyché psyché. Deux inédits sur ce Tropicalia sorti de l'incroyable "Mutations", album plutot calme" (Lire la chronique complète)
• Beck : "Mutations" (Bong Load / Geffen / Universal, 1998)
"Beck a trop d'avance sur tout le monde. Il est encore loin au dessus du lot. Il a enregistré cet album rapidement, pour une sortie plus ou moins confidentielle sur le (petit) label Bongload, mais Geffen, à l'écoute des bandes, ont décidé de le sortir. Normal, c'est un des meilleurs albums de l'année, tous styles confondus, haut la main" (Lire la chronique complète)
• Beck : "Midnight vultures" (Bongload, 1999)
"Non mais qui c'est ce Beck? Depuis 1994 et la triplette d'albums «Mellow gold», «One foot in the grave» et «Stereopathetic soul manure», môsieur trône. Alors voilà... tout ça... c'est moi le roi... Y aura-t-il enfin quelqu'un pour prendre la place du calife de la pop à la place du calife de la pop??! Et bien non." (Lire la chronique complète)

• Belle and Sebastien : "If you're feeling sinister" (Delabel / Virgin, 1997)
"Il y a plein de choses là-dedans, j'entends à la fois les Smiths et le Velvet d'une drôle de façon, le sentiment général qui s'en dégage, les paroles, sont incroyablement bons" (Lire la chronique complète)
• Belle and Sebastien : "The boy with the arab strap" (Delabel / Virgin, 1998)
"Que de jolies chansonnettes... déjà entendues. C'est toujours la même recette folk-ligne claire post-Smiths, à tel point que nous sommes invariablement tous autant déçus les uns que les autres" (Lire la chronique complète)

• Ben Folds Five : "Naked baby photos" (Caroline, 1998)
"Voici une collection de titres studio inédits, de lives et de chansons parodiques qui devrait leur permettre de se reposer un peu et de composer de nouveaux titres. Le disque est loin d'être parfait, mais a ses très bons moments" (Lire la chronique complète)
• Fear of Pop : "Vol. 1" (550 Music/Epic, 1998)
"COOL je peux enfin écouter en entier un album de Ben Folds et même y prendre du plaisir, heureux des expérimentations musicales développées, des guitares folles qui dès le premier morceau donnent le ton général de l'album : un grand fourre-tout des goûts musicaux de Ben" (Lire la chronique complète)
• Ben Folds Five : "The unauthorized biography of Reinhold Messner" (Caroline/Epic, 1999)
"Dès le troisième refrain on se dit qu'ils ont un sacré culot ces gamins: casser le rythme de leur première composition juste pour le plaisir de piller au pinacle des Beatles." (Lire la chronique complète)

Discographie Beta Band:
• The Beta Band : "The 3 E.P.'s" (1998)
"Ça ressemble à de petites chansons qu'on chanterait bien autour du feu après avoir ingurgité une sérieuse dose de LSD concentré." (Lire la chronique complète)
• King Biscuit Time …sings Nelly Foggits blues in "Me and the pharaohs" (1999)
"C'est simple : cet homme est fou, comme on aime, un peu comme Syd Barrett, La référence en la matière." (Lire la chronique complète)
• The Beta Band : "The Beta Band"
(Regal/EMI, 1999)
"Avis à tous les amateurs de panse de brebis farcis! L'album de Beta Band est parmi nous. Psychédélisme et pop voilà les deux sources d'inspiration de nos petits Ecossais!" (Lire la chronique complète)
• The Beta Band : "To you alone/Sequinsizer" (maxi, Regal/EMI, 2000)
"Un nouveau single complètement inédit après 3 singles suivis d'un premier album... nous pouvons crier ouf: «OUF!!!!!». Pourquoi? Parce que The Beta Band ont bien failli splitter après la tournée qui a suivi leur premier album! Et à l'écoute de ces deux titres incomparables nous les aurions encore plus regrettés..." (Lire la chronique complète)
• King Biscuit Time : "No style EP" (maxi, Regal, 2000)
"Beaucoup plus au calme et relax qu'avec les The Beta Band, le chanteur Steve Mason en solo semble bien s'amuser sous le pseudo de King Biscuit Time, qui lui permet de lâcher les fauves lo-fi et autres beats trafiqués, à la fois cheaps (on croirait entendre des jouets) et brillants de simplicité et de nonchalence" (Lire la chronique complète)

• Billy Mahonie: One thousand years of Billy Mahonie (Single, Too Pure/Labels, 1999)
"Pendant que le label Warp fête ses dix ans d'électro (voir les chroniques... électro), le label anglais Too Pure fête lui sa centième référence, avec un single de Billy Mahonie" (Lire la chronique complète)

• Black Grape : "Stupid stupid stupid" (Radioactive/Universal, 1997)
"Shaun Ryder, ex-leader des Happy Mondays, est bien resté bloqué sur l'époque Madchester, et finalement, lui, continue la fête dans le même esprit" (Lire la chronique complète)

• Perry Blake : "Perry Blake" (Polydor, 1998)
"Mon dieu, mon dieu, mon dieu... que j'aimerais dire du bien de tout cela! Ces compositions grandiloquentes qui tournent à la tragédie trip hop pendant que les violons programmés au bord du suicide s'effacent devant des synthés absurdes de prisunic qui ont le don de me faire douter" (Lire la chronique complète)

• Blur : "13" (Food/EMI, 1999)
"Blur explore son propre monde, le retourne et la sensation d'avoir écouter un album de musique plus qu'une collection de singles est plus qu'agréable" (Lire la chronique complète)
• Graham Coxon : "The sky is too high" (Transcopic/EMI, 1998)
"Entre Sonic Youth ou Mercury Rev pour les guitares impressionnantes qui déchirent, explosent, raclent et Nick Drake pour le coté vachement joyeux (Voir les notes de pochettes 'I hate this world and everyone in it'), Coxon délivre ici un album à écouter dans sa chambre, assis sur le bord du lit en regardant ses pieds ou les posters de Morrissey oubliés au plafond" (Lire la chronique complète)

Discographie Boo Radleys:
• The Boo Radleys : "Ichabod & I" (Action Records/Take 4, 1989)
"Conforme aux attentes, bruitiste, suiveur dans le concept ("Hip Clown Rag" est encore un titre Bloody Valentinesque)" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : "Everything's alright forever" (Creation, 1992)
"C'est la première fois que j'ai pensé à un disque de façon sexuelle" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : "Giant Steps" (Creation, 1993)
"Un pas de géant effectivement, dans le cul du monde timoré de la pop" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : "Learning to walk" (Creation, 1993)
"Cette compilation regroupe les trois premiers EP's des Boos plus deux morceaux d'une John Peel Session" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : "Wake up!" (Creation, 1995)
"Après le dévastateur "Giant Steps" on attendait vraiment les Boos au tournant, ils sont arrivés par l'autre coté" (Lire la chronique complète)
• Eggman : "First fruits" (solo album from the Boo Radley's vocalist, Creation, 1996)
"J'essaye de combler cette chronique avant d'être obligé de dire du mal du premier ouvrage solo de Sice" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : "C'mon kids" (Creation, 1996)
"C'est du muscle, de l'énergie plus rock que pop, plus pop que noisy, plus noisy que rock, plus Boo Radleys que toi le fan" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : "Kingsize" (Creation, 1998)
"Le chemin s'arrête là pour l'instant et franchement, les paysages rencontrés auront été enchanteurs" (Lire la chronique complète)
• The Boo Radleys : SINGLES & E.P.'S
• The Boo Radleys : COMPILATION - INÉDITS - PROMOS

• Bowery Electric : "Lushlife" (Beggars Banquet/Labels, 1999)
"Soit-disant urbaine et décomplexée, la musique de Bowery Electric nous rappelle en fait les pires errements d'Elysian Fields." (Lire la chronique complète)

• Bran Van 3000 : "Glee" (Audiogram / Capitol / EMI, 1997)
"le fourre-tout d'artistes qui peut donner un bon gros bazar sympa. Le problème, c'est que là il s'agit de Canadiens et de Québecquois qui font du hip-hop cocktail... insupportable au 1er degré" (Lire la chronique complète)

• Ian Brown : "Unfinished monkey business" (Polydor, 1997)
"Il est toujours vivant, mais désormais tout le monde s'en fout" (Lire la chronique complète)

• Jeff Buckley : "Sketches for my sweetheart the drunk" (Columbia / Sony, 1998)
"Un excellent double album, peut être même le véritable premier album du génie à la voix d'ange" (Lire la chronique complète)
• Jeff Buckley : «Mystery white boy» (Columbia/Sony, 2000)
"«Qu'est-ce que ça veut dire pillave?», l'entend t'on dire avant de commencer à imiter Edith Piaf, sa référence française en matière de voix, pour nous dire qu'il aime «beaucoup manger le fromage!»... En fait, on découvre que Jeff Buckley était vraiment un américain en vacance lorsqu'il venait à Paris." (Lire la chronique complète)

• Bertrant Burgalat : «Ok Bertrand» (maxi, Tricatel/Source, 2000)
"Cet EP est à se procurer en vinyle de préférence (avant d'aller se ruer sur l'album, excellent mais on en reparlera...), croyez-moi, j'ai fait le test à l'oreille avec les 2 versions et vous avez vraiment le choix entre le chaleureux vinyle type vintage ou le clinique CD-single tout froid..." (Lire la chronique complète)

• Calexico : "The black light" (City Slang / Labels, 1998)
"À moitié instrumental, il décrit une traversée cinématographique de grands espaces, vers le Mexique, forcément, dans l'esprit surf de Tarantino, cubain parfois, une sorte de country mélancolique et/ou endiablée, à la mexicaine, sous tequila" (Lire la chronique complète)

• Cinerama : "Vavavoum" (Cooking vinyl, 1998)
"Oh quel pied de retrouver le David Gedge des Wedding Present, le groupe de potes, de voisins de palier le plus important (presque) de la fin des années 80" (Lire la chronique complète)

• Cornelius : "Fantasma" (Matador / PIAS, 1998)
"Il a 27 ans et c'est déjà le grand foutoir musical revendiqué : les Beach Boys de "Pet sounds" (quand même) pour les harmonies et les arrangements orchestrés, My Bloody Valentine pour les guitares, Primal Scream pour les effets et collages soniques, le hip-hop japonais et les films de série Z pour les samples... une sorte de Beck japonais et schizophrène!" (Lire la chronique complète)

• Cornershop : "When I was born for the 7th time" (Wiija, 1997)
"Excellente reprise de "Norwegian Wood" des Beatles en une version façon Ravi shankar sous acide" (Lire la chronique complète)

• Cuba : "Cross the line" (4AD / Labels, 1998)
"La voix de Mau, rescapé d'Earthling, les grondements dub, les cuivres pétaradants, les cordes réchauffantes... C'est du Primal Sceam de 91!" (Lire la chronique complète)

• The Dandy Warhols : "Come down" (Capitol / EMI, 1997)
"Avec un nom aussi classe les Dandy Warhols mélangent avec panache le rock anglais actuel (Blur, Stereolab, Radiohead...) à des racines sixties américaines (rock garage, Velvet, 1967...), sur des titres lents et torturés, sexy et langoureux, mais surtout une bonne pelletée de tubes en puissance" (Lire la chronique complète)

•Danielson Family : "Tri-Danielson!!! (Alpha & Omega)" (Tooth & Nail records, 1998)
"Discographie et approche marketing (sûrement spontanée) mis à part, au niveau musique et paroles, je ne sais pas si vous allez y croire, mais c'est un peu toute une famille d'enfants de Daniel Johnston, Beck et du Muppet Show sous hélium, dans un style acoustico-psyché-gospel tout frais…" (Lire la chronique complète)

• Dark Star : "Graceadelica EP1" (EMI, 1998)
"La chanson-titre est plutôt décevante par sa rythmique baggy d'il y a plus de 5 ans, mais finalement s'accomode pas mal des effets dans tous les sens et de l'ambiance d'outre-tombe (de série Z). Dommage que ça ressemble plus à une impro de studio retravaillée à donf qu'à un tube" (Lire la chronique complète)
• Dark Star : "I am the sun EP2" (EMI, 1999)
"Deuxième single, toujours produit par Steve Lillywhite (qui a participé à de nombreuses merveilles, des Smiths à Dave Matthews Band quand même), et les progrès sont plus que sensibles" (Lire la chronique complète)
• Dark Star : "Twenty twenty sound" (Harvest/E.M.I., 1999)
"Produit par Steve Lillywhite, "Twenty twenty sound" est très cohérent et ponctué de références évidentes : Primal Scream, Sonic Youth, Stone Roses, MC5, Pink Floyd… réhaussées d'une énergie communicative, noisy, hypnotique et psychédélique" (Lire la chronique complète)

• Day one : «Ordinary man» (Melankolik/Zomba/Delabel, 2000)
"À mi-chemin entre une facilité detestable et un véritable don pour le hip bidouillage hop." (Lire la chronique complète)

• Deus : "The Ideal Crash" (Island/Universal, 1999)
"Deus a toujours sonné comme un croisement entre R.E.M., les Pixies et du jazz barré limite Zappa (ou Captain Beefheart en fait). Ici c'est la même chose sauf que ça ressemble plus à du Deus rencontre Deus…" (Lire la chronique complète)
• Deus : "Titres inédits" (Island/Universal, 1999)
"Trois titres vraiment excellents, du pur Deus concentré" (Lire la chronique complète)

• Divine Comedy : "Fin de siècle" (Setanta / Labels, 1998)
"Ce disque est formidable, comme on dit, c'est vrai, mais la fraîcheur et la découverte des deux premiers album se sont dissipées" (Lire la chronique complète)

• Do Make Say Think (Constellation/P.I.A.S., 1997)
"La Bernarderie du mois... Lancé sur une route à 120 Km/h, un bolide s'échappe des entrailles de la ville et conduit le John jusqu'au désert. La platine CD de sa Porsche en carton crache une multitude de sonorités à rendre vert de gris un Lee Renaldo sous calmants... «Calme!» dit le John au moteur qui s'emballe et c'est la panne." (Lire la chronique complète)

• Ian Dury & the Blockheads: "Mr love pants" (Templemill / Wagram /Arcade, 1998)
"Le disque est sympa, une ou deux écoutes en voiture sont supportables. C'est de la musique de pubs anglais" (Lire la chronique complète)

• Eels : "Electro-shock blues" (Dreamworks / Universal, 1998)
"Un album de chansons d'un mec qui aime la musique avant tout. Triste, jamais sinistre. Les mélodies sont toujours aussi imparables" (Lire la chronique complète)
• Eels : «Daisies of the galaxy» (Dreamworks/Universal, 2000)
"Non, point de "shining pop" ici, mais encore et toujours ces superbes mélodies à la fois tristes, enjouées et infectieuses, ces paroles pleines de sarcasme, d'ironie et de misère dépressive." (Lire la chronique complète)

Electronic : "Twisted tenderness" (Clear Productions/Parlophone/E.M.I., 1999)
"Une sorte de compromis entre les bouses formatées (dont on connaît les paroles) et le plaisir de ces morceaux qu'on entend au hasard d'une soirée chez des amis musicophobes et qu'on ne peut se résoudre à changer" (Lire la chronique complète)

• Jad Fair & Yo La Tengo : "Strange but true" (Matador/PIAS, 1998)
"cet album est donc le testament de cette rencontre attendue et présente une forme d'enregistrement assez novatrice. Pendant que Jad Fair débitait les paroles écrites par son frère David (avec qui ils avaient monté le groupe 'Half Japanese'), les YLT jouaient dans une autre pièce n'entendant absolument pas ce que Jad pouvait bien éructer" (Lire la chronique complète)
• Jad Fair : "The best of Jad Fair vol.1 – Jad Fair history" (Meldac/Import Japon, 1999)
"Ils sont venus ils sont tous là pour célébrer la carrière du dingo parlant et ses paroles d'évangile: "Girls like boys, boys like girls, kiss kiss kiss"!" (Lire la chronique complète)

• "The soft bulletin" - music & songs by The Flaming Lips (WEA, 1999)
"Avec "The Soft Bulletin", les Lips nous offrent un album d'une beauté exquise, une pause dans un monde souvent traqué par le bruit" (Lire la chronique complète)

• Forest for the trees (Dreamworks/Universal, 1997)
"Le single, "Dream" est très bien, mais reste du Beck trippé sous influence Celte" (Lire la chronique complète)

• Fountains Of Wayne : "Utopia parkway" (Atlantic/East/West)
"Désolé, mais cet album (ce groupe?) est niais comme du Replacements sur la fin, sans l'ambiance réaliste, plutôt carton-pâte à modeler" (Lire la chronique complète)

• The Frank & Walters : « Beauty becomes more than life » (Setanta/Labels, 1999)
"Les Frank & Walters font désormais figure de rescapés des grandes heures de la pop anglo-saxonne" (Lire la chronique complète)

• Fuck : "Conduct" (Matador / PIAS, 1998)
"Ce qui est bien chez Fuck c'est cette particularité, appelée syndrome Wedding Present, qui fait que quel que soit l'album, le morceau ou l'intro, on est en terrain connu, c'est toujours tellement la même chose, la même recette, que l'on ne peut rester qu'admirativement béat devant la beauté des compositions" (Lire la chronique complète)

Discographie Fugazi :
• Fugazi : "13 songs" (Dischord, 1988, réunit les deux EP "Self-titled EP" et "Margin walker EP")
"Au delà du discours politique et de l'affiliation au mouvement hardcore, Fugazi fait avant tout une entrée magistrale dans le monde du rock, de la pop, du groove, de la musique." (Lire la chronique complète)

• Gastr Del Sol : "Camofleur" (Domino/PIAS, 1998)
"Alors bien sûr c'est inclassable : entre Van Dyke Parks et Mercury Rev en plus folk-jazz barré mais toujours très free pop d'avant-garde" (Lire la chronique complète)

• Godspeed You Black Emperor : "Slow riot for new zero Kanada EP" (Kranky, 2000)
"est-il possible de passer encore à travers la beauté simple et si parfaite d'une musique qui prend le temps de vous gratter le cortex avant de s'en aller mourir dans un recoin de votre mémoire affectée par les drogues et les sorties répétitives d'un monde qui vous veut pourtant plus fort et plus mécanique que jamais?" (Lire la chronique complète)

Discographie Gomez:
• Gomez : "Bring it on" (Hut / Virgin, 1998)
"Ils sont anti-adhésifs ces gens-là. Un peu comme Beck en moins trituré quand même. Pour décrire leur musique, il faudrait employer des stratagèmes journalistiques douteux" (Lire la chronique complète)
• Gomez : "Liquid skin" (Hut/Delabel, 1999)
"On s'en fout de savoir si ce deuxième album est celui de la confirmation, à la hauteur du premier, s'il est meilleur, moins bien, si la pochette est pareille, si c'est mieux de manger de la confiture d'abricot que du gigot ou si le ver de terre c'est vâchement plus cool que le caribou (Maurice)." (Lire la chronique complète)
• Gomez : «Machismo EP» (maxi, Hut/Delabel, 2000)
"Ah Gomez! Nous avions désespérement essayé, nous aussi, de les ranger dans une catégorie ou une autre, mais il n'y avait aucune case qui leur correspondait. Pop barrée, psychédélique à tendances jam band seventies? C'était plus ou moins ça." (Lire la chronique complète)
• Gomez : "Interview" (01.03.02)
Gomez : "In our gun" (album, Hut/Delabel, 18.03.02)
"je me passe en boucle les morceaux 1, 3, 6, 8, 10, 12, et 13 depuis plus de 3 heures dans la cuisine à danser comme un demeuré, essayant ce faisant de faire la vaisselle, de balayer et préparer une énorme salade de fruits." (Lire la chronique complète)

• Richard Gotainer : "Le forgeur de tempos" (1977)
"Il n'y a pas qu'avec le tempo que l'on joue ici, puisqu'avant tout, Gotainer est un jongleur de mots" (Lire la chronique complète)

• Grandaddy : "Under the western freeway" (V2 / Sony, 1997)
"Sous l'autoroute de l'Ouest se cache une pop lo-fi comme Lou Barlow n'en a plus fait depuis bien longtemps (ceci est un appel!!! Lou tu nous manque!!!) avec tout plein de sons bizarres (je les soupçonne d'avoir taxé le Casio de T.I.M.I.B.), de refrains fédérateurs, de bidouillages en tous genres et de voix suffisamment fausses pour faire se retourner Lou Reed dans sa tombe (qu'est ce que vous dites? j'entend pas)" (Lire la chronique complète)

• Ben Harper and the Innocent Criminals : "Burn to shine" (Virgin, 1999)
"Ben Harper confirme, si confirmation était nécessaire. Eclectisme ne rime pas forcément avec superficialité (d'ailleurs, si vous vérifiez, ça ne rime pas du tout)" (Lire la chronique complète)

• PJ Harvey : "A perfect day Elise" (Island/Universal, 1998)
"Tout ceci est très rassurant merci Polly" (Lire la chronique complète)
• PJ Harvey : "Is this desire?" (Island, 1998)
"Finalement "Is This Desire?" est plus un retour aux sources qu'il n'y paraît. Un retour masqué, caressant pour mieux étriper. Probablement le résumé du désir" (Lire la chronique complète)

• Hayden : "The closer I get" (Outpost/Universal, 1998)
"Tour à tour complètement barré, influencé, original, calme, mais toujours atypique, ce album est fabuleux" (Lire la chronique complète)

• Hefner : "The fidelity wars" (Too Pure/Labels/Virgin, 1999)
"Je déteste quand la pop se la joue larmoyante avec le cul et les problèmes relationnels d'un gosse de 12 ans" (Lire la chronique complète)

• Henchy : "Smoking man" (TIMEC, 1998)
"En fait, vos sens sont d'un coup révéillé par ce mélange savant de pop et de trip hop torturées par un Lloyd Cole sous prozac à la différence près que Henchy, lui, à vraiment du génie" (Lire la chronique complète)

• Hole : "Celebrity skin" (Geffen / Universal, 1998)
"Tant va la cruche à l'eau... qu'un beau jour elle nous les casse" (Lire la chronique complète)

• James : "Millionaires" (Mercury/Universal, 1999)
"Ça fait combien d'années que James font du James? Que Papa James (Brown) fasse du Papa James, c'est ce qu'on veut, ce qu'on lui a toujours demandé. Seulement James, eux (le groupe, donc), n'ont jamais été Godfather de leur style." (Lire la chronique complète)

• Jonathan Fire Eater : "Wolf songs for lambs" (Dreamworks/Universal, 1997)
"La pochette est très jolie, le mix plutôt bon, mais il faut le reconnaître : c'est juste du garage-rock" (Lire la chronique complète)

• Daniel Johnston : «Rejected unknown» (Which Records/Pickled Egg, 2000)
"La légende urbaine raconte que le petit Daniel ne serait jamais redescendu d'un acide pris lors d'un concert des Butthole Surfers." (Lire la chronique complète)

• Jon spencer Blues Explosion : "Orange" (Matador/Labels, 1994)
"Quelle déflagration! En 1994 quand sort cet album (environ le troisième) du Jon Spencer Blues Explosion, on se dit que non les Cramps n'étaient pas ringards, que le rock'n'roll ne mourra jamais (toujours d'actu), et que le punk et le blues ne font plus qu'un." (Lire la chronique complète)
• The Jon Spencer Blues Explosion : "Talk about the blues" (Mute/Labels, 1999)
"The bluues in no moore. I don't blay the bluues. I blay… ROCK'N'ROLL. Tout est dit en ce qui concerne le premier titre de ce deuxième maxi issu de ACME" (Lire la chronique complète)
• The Jon Spencer Blues Explosion : "Magical colors" (Mute/Labels, 1999)
"Nos trois petits cochons du blues ne se sont pas encore fait dévorer par le grand méchant loup et c'est tant mieux" (Lire la chronique complète)
• The Jon Spencer Blues Explosion : "ACME" (Mute / Labels, 1998)
"À partir d'une base de blues toujours aussi explosif, le cinquième album du Blues Explosion de Jon spencer a quelque chose de nouveau et très personnel, malgré des influences évidentes de soul de blues et des Cramps"
(Lire la chronique complète)

• Jude : "no one is really beautiful" (Maverick/WEA, 1998)
"on se dit qu'on est dans un univers entre Tim Buckley et Bob Dylan, et bien pas seulement. Beck n'est pas loin..." (Lire la chronique complète)

• Ben Lee : "Breathing tornadoes" (Grand Royal/Source/Virgin, 1999)
"Un mec qui est pote depuis l'adolescence avec le Jon Spencer Blues Explosion, sonic Youth et les Beastie Boys est un pote" (Lire la chronique complète)

• Liberty 37 : "Oh river E.P." (4AD/Labels, 1999)
"Malgré leurs britanniques origines, les membres de Liberty 37 arriveraient presque à nous faire croire qu'ils sont californiens, qu'ils ont 15 ans, et que le surf, c'est cool, même sur la Tamise." (Lire la chronique complète)

• Low-Fi Generator : « Stereo » (Underground Sounds/Night & Day, 1999)
"du breakbeat enflammé, un bontempi à faire pâlir Charli Oleg, une reprise de "Smoke on the water" au goût du jour, des moments techno, des moments plus glurp, une bande de nains syphilitiques et Tina Arena au bout d'une corde...." (Lire la chronique complète)

• Billy Mahonie : "The big dig" (Too Pure/Labels, 1999)
"Au-delà de la mouvance actuelle, BM construit un univers d'un cool à toute épreuve. Relaxé et relaxant comme le très beau Drago" (Lire la chronique complète)

Discographie Mercury Rev:
Mercury Rev : "Deserter's songs" (1998)
"C'est plutôt rassurant de voir que sans rien changer à leur écriture ni à leur son, ils ont réussi à avoir je le répète 4 PUTAINS DE f dans Télérama!!!!!!!!!!!!" (Lire la chronique complète)
• Mercury Rev : Concert du 24 Février 1999 au Bataclan (Paris)
"une merveille de concert plus sonique que pastoral. Il y eu trois rappels, et à chaque fois de bonnes grosses lampées de gens s'en allaient, presque soulagé que le boucan soit enfin fini" (Lire la chronique complète)
Mercury Rev : "Goddess on a hiway" (CD-single, 1998)
"Franchement si vous n'avez pas encore acheté cet EP depuis les 4 f de Télérama je ne peux rien pour vous" (Lire la chronique complète)
Mercury Rev : "Deserter's songs + bonus live CD" (1999)
"Ça n'est pas parce que tout le monde agit comme des moutons qu'il s'agit de faire comme eux" (Lire la chronique complète)
Mercury Rev : "Delta sun bottleneck stomp" (CD-single, 1998)
"Le remix des Chemical Brothers ne contient lui plus aucune voix et n'est que divagations psyché-big beat autour du thème mélodique de l'original" (Lire la chronique complète)

• Moby : "Play" (Mute/Labels/Virgin, 1999)
"Si "Animal Rights", son album de metalotechnoindus pouvait donner l'envie d'aller scalper un hamster, "Play" donne plutôt dans l'humanisme de la musique black vu par un blanc" (Lire la chronique complète)

• Morgan : "Miss Parker" (Source UK/Virgin, 1999)
"Première signature du label Source version UK, on fait tout un plat dans la presse française... d'un morceau! Mais que se passe-t-il? Qui sont ces anglais? Ils viennent de Londres? Qu'est-ce qu'il a ce morceau, c'est quoi tout ce buzz?" (Lire la chronique complète)

• Nada Surf : "The proximity effect" (Elektra/East/West, 1998)
"Trop clean, trop linéaire, trop grave dans les paroles ('Why are you so mean to me?' Passque tu l'mérite!), un album trop… de trop?" (Lire la chronique complète)

• Stina Nordenstam : "People are strange" (Warner/East/West, 1998)
"Face à ce disque surfait, limite risible mais emballé comme un truc indé achtement radical, nos Inrocks doivent jubiler et trouver ça 'Ouah mortel', mais arrêtez-moi si je me trompe" (Lire la chronique complète)

• Bonnie 'Prince' Billy : "I see a darkness" (Domino/Labels, 1999)
"Ils sont encore nombreux à ignorer l'existence du spleen musical le plus tranquille et le plus émotionellement transcendant actuel : Palace Brothers, Palace Music, Palace, Will Oldham, Rising Shotgun… et maintenant Bonnie 'Prince' Billy n'évoque rien pour eux" (Lire la chronique complète)
• Will Oldham : "Joya" (Domino/PIAS, 1997)
"Il y a toujours cette voix torturée, rompue, qui se casse à chaque phrase, immédiatement reconnaissable, et même si son registre musical s'éloigne un peu d'une forme de country triste, à vif, elle s'insinue toujours entre celle de Joni Mitchell et la noirceur de Joy division" (Lire la chronique complète)

• The Olivia Tremor Control : "Black foliage" (Flydaddy/V2, 1999)
"Black Foliage est un assemblage de mélodies pop Beatlesiennes, d'harmonies Beachboysesques et de sons Sydbarrettiens" (Lire la chronique complète)
• Olivia Tremor control : "Hideaway" (V2, 1999)
"Manquent quand même les petites mélodies bien sympathiques comme on les aime mais autant qu'ils les réservent pour l'album et continuent à nous pondre des EP's dans l'espaaaace" (Lire la chronique complète)

• Jim O'Rourke : "Eureka" (Domino/Labels, 1999)
"Ça va faire des jaloux : une espèce de mutant entre les Beatles et Robert Wyatt avec une section de cuivres sur scène dans un cabaret de Vegas" (Lire la chronique complète)
• Jim O'rourke : «Halfway to a threeway» (maxi, Drag City/Domino/Labels, 1999)
"Jim est sympa, il a un goût artistique indéniable et rien que pour cette pochette il faut acheter ce disque." (Lire la chronique complète)

Oslo Telescopic : "Third" (Lithium/Labels, 1999)
"Des groupes comme Oslo, si vous avez bougé vos culs gras pendant la fête de la musique, vous devez en avoir croisé des centaines (et encore moi je n'ai vu que Paris…)" (Lire la chronique complète)

• Pavement : "Terror twilight" (Domino/Labels/Virgin, 1999)
"Pavement joue toujours dans la cour du Velvet Underground avec une petite halte chez les Floyd pour un The Hexx psyché" (Lire la chronique complète)
Pavement : "Carrot rope CD1 & CD2" (Domino/Labels/Virgin, 1999)
"Les fans se devront d'acheter les 2 singles pour les inédits très Pavement, et pour le single "Carrot rope" lui-même, qui fait le lien entre Pavement, Ween et Phish" (Lire la chronique complète)
• Pavement : «Major leagues» (maxi, Matador/Labels)
"Pavement ont dernièrement annoncé la séparation officielle du groupe. Dommage pour les acharnés (nous en sommes) du génie mélodique de Stephen Malkus." (Lire la chronique complète)

• Phoenix : "United" (Source/Virgin, 2000)
"A l'approche de l'été, nous sommes tous à l'affût du prochain "OOOH BABY..!", qui viendra hanter nos éthyliques (?) soirées de vacances. On imagine bien en ce moment les divers producteurs de dance de tous les pays finalisant ce qu'ils pensent tous, être comme le morceau phare de la saison estivale. Tant pis pour eux, ce tube existe déjà sur l'album de Phœnix." (Lire la chronique complète)

• Pitchshifter : "www.pitchshifter.com" (Geffen/Universal, 1998)
"Au moins avec ce nouvel album, Pitchshifter ne font pas leur Marilyn à chercher à copier (en pire) NIN dans tous les sens" (Lire la chronique complète)

• Pixies : "at the BBC" (4AD / Labels, 1998-90)
"C'est le meilleur album des Pixies depuis "Doolittle" et probablement un meilleur achat pour celui qui désire les découvrir que la compile "Death to the Pixies" sortie l'année dernière" (Lire la chronique complète)

• Primal Scream : "Vanishing point" (Creation / Small, 1997)
"Primal Scream nous refait le coup du chef d'œuvre fusionnel avec ce 5ème album. Leur rock-pop-funk plonge en 1997 dans le dub acide, pour un résultat expérimental, bourré de sons bizarres dans tous les sens, et qui, finalement, tient très bien la route même plus d'un an plus tard" (Lire la chronique complète)
• Primal Scream : "Echo dek" (Creation / Small, 1997)
"Dub, le terme ne pourrait être plus juste. Dub monstrueux, même. De psychédélique, l'album tourne carrément à l'onirique" (Lire la chronique complète)
• Primal Scream : «Xtrmntr» (Creation/Small, 2000)
"Aaah le cri primal... Ça fait maintenant 13 années que le cri primal s'exprime véhément." (Lire la chronique complète)

• Pullman : "Turnstyles & junkpiles" (Touch & Go, 1998)
"on sait que la journée est foutue mais bon... tant pis! Autant rester chez soi à chialer un coup sur les ballades acoustiques et sous valium de Pullman" (Lire la chronique complète)

• Pulp : "This is hardcore" (Island, 1998)
"...le rouge à lèvres parfaitement putassier, le fauteuil de cuir rouge, la pose levrette, voire sodomie... ça a l'air de faire bien mal : "This is hardcore". Et pourtant il ne s'agit que de pure pop somptueusement arrangée" (Lire la chronique complète)

• R.E.M. : "Up" (WEA, 1998)
"Nul doute que cet album plaira aux plus fanatiques. À l'écoute de la première chanson, on se demande quand même… D'ailleurs on se le demande toujours" (Lire la chronique complète)

Radiohead : "No surprises/Running from demons" (Parlophone/E.M.I./Import jap.)
"Cinq chansons qui ressemblent à des chutes de studio de l'enregistrement de Ok computer" (Lire la chronique complète)

• Red Hot Chili Peppers : « Californication » (WEA, 1999)
""Désolé!", aurait dit Denisot s'il avait été à la place d'Anthony Kiedis, obligé de chanter une chanson comme "Scar tissue" pour gagner de l'argent." (Lire la chronique complète)

• The Regular Fries E.P. : "Free" (JBO/V2, 1998)
"Dommage, ils n'explorent même pas les Inspiral Carpets…" (Lire la chronique complète)
• The Regular Fries : "Accept The Signal" (JBO/V2, 1999)
"Après plusieurs singles et de nombreux concerts marquants en Angleterre, les Regular Fries s'enferment en studio en Mars 99 pour 8 semaines d'alcoolisme, de brainstorming, d'expériences sonores et de psychédélisme." (Lire la chronique complète)

• Sebadoh : "The Sebadoh" (City Slang/Labels, 1998)
"Aaargh c'est du Barlow ladies and gentlemen!!! Du Lou pur jus, de ce qu'on aurait aimé entendre sur 15 titres, mais non, il faudra s'en contenter de 6" (Lire la chronique complète)

• Shellac : "Terraform" (touch & Go, 1998)
"Je suis à fond partisan de sa défense du bon vieux vinyle de 180 grammes avec un pochette fabuleuse" (Lire la chronique complète)
• Shellac : "At Action park" (Touch & Go, 1994)
"Shellac, c'est le vrai punk rock énervé et mélodique des années 90" (Lire la chronique complète)
• Shellac : "1000 hurts" (Touch & Go/P.I.A.S., 2000)
"Rock 'n'Core... Pop, vous avez dit pop? Rien à voir... Le père Albini reprend encore une dose de Shellac et crie plus fort encore sa très grande envie de tuer. Soit, on peut percevoir une petite once d'espoir dans la tentative de chant en dessous de 125 décibels... et pourtant, "fucking kill him!" comme il dit." (Lire la chronique complète)

• Silver Jews : "American water" (Domino/Labels, 1999)
"Ça n'est pas l'arrivée de Steve Malkmus qui va infirmer la parenté entre 'Pavement' et les 'Silver Jews' de Dave Berman… et entre 'Pavement' et le 'Velvet Underground'… et entre le 'Velvet Underground' et 'Sonic Youth'… et… et… j'ai mal au crâne" (Lire la chronique complète)

• Elliott Smith : "XO" (Dreamworks / Universal, 1998)
"Le bonheur, c'est simple, finalement : une voix, une guitare, quelques arrangements bien parfaits, et le tour est joué" (Lire la chronique complète)

• Smog : "Knock knock" (Domino/Labels, 1999)
"Malheureusement, on ne peut qu'évoquer la comparaison avec Will Oldham (Palace, Bonnie 'Prince' Billy…) qui lui est toujours plus émouvant, plus direct, plus… efficace dans le genre que Bill Callahan, tête pensante de Smog" (Lire la chronique complète)

• Sonic Youth : "A thousand leaves" (Geffen / Universal, 1998)
"La maîtrise du long-format acquise grâce aux E.P.'s se fait donc vraiment sentir. L'album est d'une homogénéité parfaite de bruit mélodique et inversement. C'est la plénitude du chaos" (Lire la chronique complète)

• Soul Coughing : "El oso" (Slash / Barclay, 1998)
"Leur trip'n'free sombre un peu drum'n'bass, un peu hip-hop, très science-fiction ressemble aussi étrangement à du Wall Of Voodoo, du Stan Ridgway 1er album, bref... de la new wave. Mais pas dans le sens péjoratif du terme, plutôt dans le sens TalkingHeadsien" (Lire la chronique complète)

• South : "4 track sessions" (Mo' Wax MWR120, 2000)
"Comment parler quand on est étreint par la subtile mais non moins pesante pression que peut vous foutre une nouveauté hip hop dont on vous promet le mieux? Et même si la tache semble au premier abord, pas plus difficile que de dire Ouneshkeuteufrruurrrt, mon baobab nain pourra vous prétendre le contraire... A première vue, la platine ne rechigne pas et les enceintes tiennent le coup, malgré les basses énormes qui enveloppent la pièce colorée de hip hop made in Mo'Wax." (Lire la chronique complète)

• Space Monkeys : "the daddy of them all" (Interscope/Universal, 1998)
"Les quatre cinquièmes du disque c'est du Charlatans 100% pareil la même chose, et le reste du Oasis style-genre-pareil" (Lire la chronique complète)

• Spiritualized : "Live - Royal Albert Hall October 10 1997" (Deconstruction / BMG, 1998)
"Même s'il s'agit globalement toujours de psychédélique-sonique-Velvet Underground (à 2-3 accords comme depuis les débuts avec les Spacemen 3), on se demande jusqu'où ira la montée en puissance (sonore) de Spiritualized : donc à écouter toujours très fort, de toutes façons" (Lire la chronique complète)
• Spiritualized : "Ladies and gentlemen we are floating in space" (Dedicated / PIAS, 1997)
"Ambiance pop, sonique, rétro Floyd parfois, psychédélisme qui s'incurse dans l'âge électronique" (Lire la chronique complète)

• Static-X : "Wisconsin death trip" (WEA, 1999)
"Ah, la mode des guitares à l'huile qui font kreuf-kreuf revient fort (c'est le moins que l'on puisse dire), depuis des groupes comme Korn ou Deftones (ce qui, souvent, est la même chose)" (Lire la chronique complète)

• Thierry Stremler : "Tout est relatif" (Solid/Source/Virgin, 2000)
"La chanson française prend depuis peu une direction qu'on pensait obstruée par les dinosaures locaux de la soupe aux kilomètres. Avec des artistes tels que M et Thierry Stremler, on peut se rassurer quant à la résurgence de l'humour ( pas celui de Lagaff!) dans les productions françaises actuelles." (Lire la chronique complète)

• Super Furry Animals : "Out spaced" (Creation/Sony, 1998)
"Parfait, plus les Anglais iront voir ce qui se passe de l'autre coté de l'atlantique, plus ils resteront les maîtres de la pop" (Lire la chronique complète)

• Supergrass : "Pumping on your stereo" (Parlophone/E.M.I., 1999)
"À l'image du passé de Supergrass : super pompé (sur "Rebel rebel" de David Bowie en particulier), mais ultra-efficace et bien rigolo : du Superbowie, en somme" (Lire la chronique complète)
• Supergrass : "Supergrass" (Parlophone/E.M.I.)
"De l'envolée popesque de "Moving" à la ballade plus pop encore de "Mama & papa" sous-titrée "je vous aime", tout il est bon dans ce nouveau chapitre éponyme du trio anglo-débile nain à tête de hareng." (Lire la chronique complète)

• Swell : "For all the beautiful people" (Beggars Banquet / Labels, 1998)
"David Freel et Monte Vallier ont pondu là un album gravement envoûtant, comme d'hab. La beauté des mélodies est toujours à pleurer et les arrangements de voix à tomber, comme d'hab" (Lire la chronique complète)

Discographie Teenage Fanclub:
• Teenage Fanclub : "A catholic education" (1990)
"un premier album brouillon, joyeux, assez mal enregistré, les chansons se ressemblent toutes, mais c'est du bonheur" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : "The King" (1991)
"Album OVNI sorti en édition limitée dans l'indifférence la plus fracassante, ce disque a, je crois, été enregistré pour terminer au plus vite un contrat insatisfaisant" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : "Bandwagonesque" (1991)
"Avec cet album nos quatre lascars continuent à partir dans tous les sens… mais ils sont loin d'en être dupes" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : "Thirteen" (1993)
"Il faut beaucoup gratter à la surface, mais l'or est bien là, juste en dessous, sous une production encore incongrue qui ne résiste pas toujours au compromis" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : "Deep fried fanclub" (1995)
"Heureuse idée d'avoir ressorti en CD une compilation des premiers singles ou 45 tours" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : "Grand prix" (1995)
"Teenage Fanclub entrent dans une nouvelle période – la meilleure à mon goût – celle du triomphe (sauf en termes de ventes)" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : "Songs from Northern Britain" (1997)
"Ce dernier album du groupe est aussi probablement leur meilleur. C'est une machine à bonheurs" (Lire la chronique complète)
• Teenage Fanclub : SINGLES & E.P.'S
• Teenage Fanclub : COMPILATION - INÉDITS - PROMOS

• Tindersticks : "Donkeys 1992-97" (Island)
"Voilà une collection d'inédits 92-97, ou plutôt de singles, titres rares et faces B épuisées, pour cause de tirage luxueux et limités" (Lire la chronique complète)

• Trashmonk :"Mona lisa overdrive" (Creation/Sony, 1999)
"Ici il nous revient avec cet album signé chez Creation (le label bâtard qui a viré les BOO RADLEYS), un joli album, mais juste joli" (Lire la chronique complète)

• Various Artists : "Chef aid - B.O. South Park" (Columbia, 1998)
"Pour résumer un peu cet album que j'aime bien : un Ween extraordinaire, deux morceaux de Primus grandioses dont le premier est le générique de la série, Ned Gerblansky qui triture une ballade romantique de sa voix Valiumée, un morceau de Devo qui fait plaisir à entendre, et la mort hebdomadaire de Kenny rappée par Master P. Rien que ces morceaux motivent l'achat à eux seul" (Lire la chronique complète)
• Various Artists : South Park : "Bigger, longer & uncut – Music form and inspired by the motion picture" (Atlantic, 1999)
"Amis pétomanes de la bouche, bonjprout!" (Lire la chronique complète)

• Various Artists : «At home with the groovebox» (Grand Royal/Source, 2000)
"attendez, attendez, ce n'est pas qu'une compile, c'est tout un concept." (Lire la chronique complète)

• Venus : "Welcome to the modern dance hall" (Sonica/E.M.I., 1999)
"Venus sont beulges. C'est un quintette acoustique qui joue ce que l'on pourrait qualifier de "pop visuelle" d'après ce que nous avons entendu sur disque, et ce qu'on nous a rapporté de leurs concerts, à voir absolument pour le côté théatral." (Lire la chronique complète)

• Volume All Stars : "Close encounters of the bump and grind" (Too Pure / Labels, 1998)
"Le truc, c'est que même à Seattle les musicos tombent à pieds joints dans le sampler" (Lire la chronique complète)

Discographie WARP:
• WARP65 Broadcast : "The noise made by people"
"A l'écoute de la voix nonchalante de Trich Keenan dont la diction n'est pas sans rappeler la pop répétitive de Stereolab, on pourrait s'attendre pour cette signature Warp à des boucles rondement menées, mais il n'en est rien. Broadcast cuisine des compositions classiques -couplet, pont, refrain- nappées de claviers analogiques." (Lire la chronique complète)
• WAP132 Broadcast : "Come on let's go"
"Pour les collectionneurs, hormis le premier titre, tous les autres sont inédits par rapport à l'album." (Lire la chronique complète)
• WAP125 Broadcast "Echo's Answer"
"Premier extrait de l'album «The noise made by people», «Echo's answer», comptine pop et sans rythme, évoque le fantôme de Nico (pour les incultes: la fille qui chante sur le premier album du Velvet Underground) et porte très bien son nom: on croit juste entendre une réponse à la réponse d'un écho." (Lire la chronique complète)
• WAP117 Slum "Twilight Mushrooms"
"Ce petit 45 tours pas facile à dénicher mais disponible tout de même semble de premier abord provenir d'une résurrection actuelle du défunt label Sarah records, expert en pop-songs cristallines descendantes des Smiths." (Lire la chronique complète)

• Wheat : "Hope and Adams" (Sugar Free/Labels, 1999)
"En réponse aux fabuleux stickers qui nous préviennent que "Attention, Talent!", je collerai mon sticker perso "Attention, musique!" sur la tronche de Wheat (je sais que ce geste est gratuit mais bon....)." (Lire la chronique complète)

• Ween : "The mollusk" (Elektra/East/West, 1997)
"Voilà, c'est le terme que je cherchais pour définir le dernier Ween : exceptionnel" (Lire la chronique complète)
• Ween : "Paintin' the town brown – Ween live '90-'98" (Elektra, 1999)
"Branle branle branle… OUHHH ça fait du bien de commémorer avec les branleurs de Ween leurs 8 années de branle scénique" (Lire la chronique complète)

• Robert Wyatt : "Shleep" (Hannibal/Rykodisc, 1998)
"Climats intimistes, voix éthérée et morceaux d'un insaisissable beauté - sublime et hors modes" (Lire la chronique complète)

Discographie Weird Al Yankovic:
• Weird Al Yankovic : "Weird Al Yankovic" (Avril 1983)
"le tube définitif, c'est ce "Another one rides the bus", parodie de Queen ("Another one bites the dust"), jouée avec juste quelques mains (claps et autres 'je tape sur des boîtes en carton'), une voix doublée et des riffs... d'accordéon" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Weird Al Yankovic In 3-D" (Février 1984)
"le morceau qui le fit connaître du monde entier est bien sûr la parodie de "Beat it" de Jackson, "Eat it", une fois de plus obsessionnellement axée bouffe et uniquement bouffe : Just eat it, eat it - Get yourself an egg and beat it … Have a banana, have a whole bunch - It doesn't matter what you had for lunch - Just eat it, eat it, eat it, eat it" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Dare To Be Stupid" (Juin 1985)
"Bon, déjà, une de ses meilleures parodies : "Yoda" ("Lola des Kinks) qui raconte la vie d'un vieux petit bonhomme qui vit dans les marais de Dagoba. 'Y-O-D-A Yoda, Yo Yo Yo Yo-da…" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Polka Party" (Octobre 1986)
"...Living in the USA, qui devient 'Living with a hernia', avec ses cris de douleur : aaaoou!" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Even Worse" (Avril 1988)
"Fat (Michael Jackson, 'Bad'), et son clip d'anthologie où, à coups d'effets spéciaux, toute la vidéo de "Bad" est rejouée par des obèses dont Weird est le plus énorme" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "UHF - Original Motion Picture Soundtrack And Other Stuff" (Juillet, 1989)
"C'est le 'Generic blues', parodie générale de toutes les chansons blues qui remporte la palme, surtout pour son solo à 2 notes, son solo de batterie à 2 temps et ses paroles tordantes" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Off The Deep End" (Avril 1992)
"Un carton mondial pour la parodie de Nirvana et sa vidéo, "Smells like Nirvana", à juste titre" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Alapalooza" (Octobre 1993)
"En pleine dinosaure-mania, Weird reprend l'obscur et très niais "MacArthur Park" de Richard Harris en un "Jurassic Park" où il réussit à raconter toute l'histoire du film en moins de 4 minutes" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : "Bad Hair Day" (Mars 1996)
"Cet album s'écoula vraiment bien aux Etats-Unis (1,7 millions d'exemplaires vendus), alors qu'il nous a paru plutôt un peu faible ici" (Lire la chronique complète)
• Weird Al Yankovic : Compilations - "Greatest Hits" (Octobre 1988), "The Food Album" (Juin 1993), "Permanent Record - Al In The Box" (4-CD Box Set, Septembre 1994), "Greatest Hits - Volume II" (Octobre 1994), "The TV Album" (Novembre 1995) (Lire les 4 chroniques)
• 'Weird al' Yankovic : "Running with cissors" (June 1999)
"Franchement ce type m'épate parce qu'après toutes ces années son art (c'en est un…), au lieu de s'étioler au soleil de sa pseudo gloire, ne fait que grandir tant les morceaux parodiés deviennent la propriété Yankovicoise" (Lire la chronique complète)

• Zita Swoon : "I paint pictures on a wedding dress" (WEA, 1998)
"Zita Swoon "s'inspire" (notez bien que j'utilise "s'inspire") des Pixies, des Smiths, des Beatles et de Deus. Pascal Obispo "s'imbibe" de Michel Polnareff" (Lire la chronique complète)



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