Press Release :
Released on Terranova's new imprint under TNT Recordings, "Love Pollution" is the second album from the pretender to the P-Funk throne, Snax.

The album is a canvas coloured with emotional confusion and unrest and lead single "Immer So (Always So)" is set to whet the palate just long enough before the "Love Pollution" album hits town.

Concentrating heavily on quality and not quantity Snax has crafted 11 superb tracks for this Lp weaving his P-Funk-Electro-House-Boogie throughout but with a depth often missed out by other artists. Vocal comparisons to Prince are clear when listening to the album, as both artists have clearly been inspired by the earlier musical movement headed by George Clinton & Parliament.

Each song is filled with its own character and rather than building up tunes piece by piece like a jigsaw the sounds seem to effortlessly gel together from his clear initial vision. The title song really defines the album with a powerful backing beat overlaid with Snax's great vocal hook 'Thought we could start a revolution but it was all just love Pollution'. His Wit is apparent throughout and his playful use of lyrics and vocal tones are the perfect accompaniment to his cutting edge production.

"an awesome sing-a-long spectacular…A+ production and next level crooning - Vice
"an intuitive songwriter with a scalpel sharp sense of humour" - iDJ

Press Release (french) :
Depuis qu'il a formé avec son frère un groupe imaginaire appelé J.P. & The Writers à l'âge tendre de 5 ans, Paul Bonomo aka SNAX a fait du chemin. Parmi ses faits d'armes, des participations dans des groupes de funk au lycée de son Maryland natal, puis autour de Washington DC, la formation d'un trio gay punk appelé Fagbash à San Fransisco, la création de Bedroom Productions avec Tara Delong à New York, les tournées comme clavier du légendaire Fœtus et de Jamie Lidell, la fondation de Captain Comatose avec Khan à Berlin, un premier disque en tant que SNAX sur le label genevois Mental Groove, une collaboration avec Shapemod à paraître sur le très estimé label berlinois Get Physical... Et outre ses étiquettes de performer multi instrumentaliste, de producteur et de dj, on peut aussi ajouter créateur et bête de scène à son pedigree.

Après de nombreux voyages dont un avec Fagbash à San Francisco, SNAX s'est finalement posé à New York dans le quartier d'East Village en 1995. Se concentrant sur son alter ego dj SNAX, il a commencé à mixé de la house, du hip hop, et tout ce qu'il trouvait simplement intéressant. Une mixtape attire l'attention de Tara DeLong et la paire a créé Bedroom Productions, prodiguant un mélange inédit de "lo fi hip-hop". Dans le même temps SNAX cultive sa personnalité scénique. "J'avais l'habitude de sortir de mon appartement et d'agir comme si j'étais sur une scène" commente-t-il.
C'est à ce moment qu'un lot de coïncidences l'a conduit aux portes de Khan, avec qui il fonda le groupe Captain Comatose, auteur de deux brillants albums sur Playhouse ; et à celle de Jim Thirlwell, avec qui il tourna aux Etats-Unis et en Europe avec le groupe Fœtus. "C'était juste après le 9 septembre et l'élection de Georges Bush, et je me suis dit qu'il était temps que je m'en aille". Après avoir expérimenté les fêtes orgiaques et sans fin de la fertile ville de Berlin, sa décision d'émigrer était prise. Une décision qui se ressent sur les rythmes à la sauce p funk de son premier disque sur Mental Groove. Le premier single "No Dancing" est un titre à l'image de ces fêtes, hystériques comme l'enfer et construit dans un but avoué de produire l'effet opposé de son titre..

En 2004 sort son premier album solo "From the rocking chair to the stage", basé sur la notion de fête (avant, pendant et après). iDJ le qualifie alors de "songwriter intuitif avec un sens de l'humour tranchant comme un scalpel". S'en suit une tournée de 7 mois dont un mois de one-man show à travers l'Europe, et au cours de ces périples, des collaborations avec Jamie Lidell, Kaos, Shapemod, Ianeq, Mocky, Peaches et Soffy O.
SNAX a toujours été influencé par la dynamique de la musique live en provenance de la scène Go-Go ; ce ne fut donc pas une surprise que ses shows soient conçus comme une fusion intelligente de provocation, de ragots et de fun. Il se donne le rôle du Premier Ministre de ce qui a été nommé le "fist-funk", et pourtant peut atteindre une voix de fausset sans arrêter de se pavaner. "J'aime courir autour de la scène" se confie SNAX, "et faire participer les gens le plus possible". Volontiers décrit comme extravagant, le live de SNAX est un moment de pure énergie couplé à une rock n roll attitude, unissant la danse et la foule.

Voici venu l'automne 2006, SNAX sort son deuxième album et un single sur le nouveau label berlinois TNT (de Terranova). "Love Pollution" et le maxi qui le précède "Immer So" montrent que SNAX a développé ses talents de songwriter, avec des contes sur les ruptures amoureuses et l'émancipation qui s'en suit. "Il y a un peu plus qu'une simple histoire sur Love Pollution. Il s'agit d'amour, de perte, de mesquineries et finalement de rédemption. Ce n'est pas simplement centré sur moi. J'essaie de rendre mes chansons universelles mais dans un sens je réclame ma propre délivrance..."
Avec des titres où apparaissent en featuring Gina V D'Orio de Cobra Killer, Halloween Jack, Tara DeLong, et même une section cuivre avec la courtoisie de Jeff Davidson, l'album transcende l'électronique pour des sonorités plus acoustiques avec une aisance particulière. Tout en gardant un sens du groove à faire pâlir le kid de Minneapolis... Et en guise de rappel du long parcours musical de SNAX, l'album comporte une chanson Go-Go. "Je suis vraiment emballé par ce titre" s'enthousiasme SNAX. Vous devriez vite le devenir aussi...